R. Vainopoulos et Patrick Loison
Trente quatre fournisseurs avaient répondu présent à ce rendez-vous, désormais classique, des agences appartenant à la branche affaires de TourCom que préside Patrick Loison. Parmi eux des compagnies aériennes, des GDS, mais également des chaînes hôtelières et des centrales de résa comme Boscolo Tours.
Le réseau de Richard Vainopoulos avait annoncé, lors de sa dernière convention à Cannes en novembre dernier, sa volonté de faire du développement de ce secteur une priorité pour 2004. Dès janvier, le réseau avait en effet renforcé le service proposé aux adhérents et donné un nouvel élan aux négociations avec les fournisseurs.
Il faut dire que TourCom Affaires représentait fin mars 161 licences et 252 points de vente, soit la totalité des agences agréées Iata. Un ensemble qui pèse désormais 450 millions d'euros de volume d'affaires et "offre une puissance de négociation comparable à la plupart des autres réseaux volontaires."
Et le mouvement continue sa croissance puisque selon Richard Vainopoulos et Patrick Loison, les adhésions des agences de province "évolue de manière croissante depuis 1997 pour représenter 41% des membres de TourCom Affaires.
Ces derniers bénéficient de tarifs négociés avec une quarantaine de cies aériennes, 12 chaînes hôtelières, 4 loueurs de voitures et 3 GDS, sans compter des incentives négociés avec une trentaine de fournisseurs.
Recrutement en 2003 d'un professionnel de la billetterie
Outre des supports écrits (Info spéciale TourCom Affaires", "La Lettre d'information TourCom Affaires"), un Forum et un Workshop annuels ainsi que des modules de formation spécifique complètent l'information et la documentation des adhérents.
Enfin, le réseau dispose depuis peu d'une assistance-conseil permanente avec le recrutement en 2003 d'un professionnel de la billetterie pour assister, conseiller et faire en permanence l'interface avec les fournisseurs.
TourCom Affaires ne fait pas de complexe face aux gigantesques regroupements des réseaux de distribution qui ne sont au mieux pour R. Vainopoulos que des "Mammouths sans intérêt (car) les compagnies aériennes ne négocient pas au niveau national".
Si les grands réseaux souffrent de la baisse du trafic affaires, il en va autrement dans les petites structures qui ont comme clients des PME/PMI.
"Notre clientèle a besoin de se déplacer, explique Patrick Loison et beaucoup d'entreprises qui étaient parties voir les grands réseaux sont revenues car elles se sont rendues compte qu'il valait mieux être un gros client dans une petite agence qu'un petit client dans un grand réseau..."
Le réseau de Richard Vainopoulos avait annoncé, lors de sa dernière convention à Cannes en novembre dernier, sa volonté de faire du développement de ce secteur une priorité pour 2004. Dès janvier, le réseau avait en effet renforcé le service proposé aux adhérents et donné un nouvel élan aux négociations avec les fournisseurs.
Il faut dire que TourCom Affaires représentait fin mars 161 licences et 252 points de vente, soit la totalité des agences agréées Iata. Un ensemble qui pèse désormais 450 millions d'euros de volume d'affaires et "offre une puissance de négociation comparable à la plupart des autres réseaux volontaires."
Et le mouvement continue sa croissance puisque selon Richard Vainopoulos et Patrick Loison, les adhésions des agences de province "évolue de manière croissante depuis 1997 pour représenter 41% des membres de TourCom Affaires.
Ces derniers bénéficient de tarifs négociés avec une quarantaine de cies aériennes, 12 chaînes hôtelières, 4 loueurs de voitures et 3 GDS, sans compter des incentives négociés avec une trentaine de fournisseurs.
Recrutement en 2003 d'un professionnel de la billetterie
Outre des supports écrits (Info spéciale TourCom Affaires", "La Lettre d'information TourCom Affaires"), un Forum et un Workshop annuels ainsi que des modules de formation spécifique complètent l'information et la documentation des adhérents.
Enfin, le réseau dispose depuis peu d'une assistance-conseil permanente avec le recrutement en 2003 d'un professionnel de la billetterie pour assister, conseiller et faire en permanence l'interface avec les fournisseurs.
TourCom Affaires ne fait pas de complexe face aux gigantesques regroupements des réseaux de distribution qui ne sont au mieux pour R. Vainopoulos que des "Mammouths sans intérêt (car) les compagnies aériennes ne négocient pas au niveau national".
Si les grands réseaux souffrent de la baisse du trafic affaires, il en va autrement dans les petites structures qui ont comme clients des PME/PMI.
"Notre clientèle a besoin de se déplacer, explique Patrick Loison et beaucoup d'entreprises qui étaient parties voir les grands réseaux sont revenues car elles se sont rendues compte qu'il valait mieux être un gros client dans une petite agence qu'un petit client dans un grand réseau..."
