Il va peut-être falloir durcir le plan de restructuration en cours, “Transform 2015”, selon Le Monde (LIRE)
Cette fois-ci on “taperait” sur “le court et le moyen-courrier" qui après une perte de 500 millions d'euros en 2011 a remis le “couvert” avec 700 millions d'euros passés à la trappe en 2012.
L’UNAC, syndicat des personnels navigants, s'interroge “sur l'efficacité de la politique mise en place par l'entreprise".
Les trois bases de province ouvertes à Marseille, Nice et Toulouse, sont un échec et “continuent à perdre de l'argent", selon le Monde.
Le PDG d’Air France se “défausse” sur son prédécesseur Pierre-Henri Gourgeon, lui n’ayant fait que "prendre le train en marche".
L’avenir de ces bases sera remis sur le tapis en septembre et leur fermeture, totale ou partielle, n'est pas à exclure. On pourrait arrêter les lignes les moins rentables.
A en croire l'UNAC, cette révision à la baisse de l'activité des trois bases serait la conséquence d'une mauvaise appréciation ou de la "sous-évaluation de la saisonnalité" de la clientèle loisirs.
Une "clientèle de touristes", par définition "pas régulière tout au long de l'année", ironise le syndicat.
Cette fois-ci on “taperait” sur “le court et le moyen-courrier" qui après une perte de 500 millions d'euros en 2011 a remis le “couvert” avec 700 millions d'euros passés à la trappe en 2012.
L’UNAC, syndicat des personnels navigants, s'interroge “sur l'efficacité de la politique mise en place par l'entreprise".
Les trois bases de province ouvertes à Marseille, Nice et Toulouse, sont un échec et “continuent à perdre de l'argent", selon le Monde.
Le PDG d’Air France se “défausse” sur son prédécesseur Pierre-Henri Gourgeon, lui n’ayant fait que "prendre le train en marche".
L’avenir de ces bases sera remis sur le tapis en septembre et leur fermeture, totale ou partielle, n'est pas à exclure. On pourrait arrêter les lignes les moins rentables.
A en croire l'UNAC, cette révision à la baisse de l'activité des trois bases serait la conséquence d'une mauvaise appréciation ou de la "sous-évaluation de la saisonnalité" de la clientèle loisirs.
Une "clientèle de touristes", par définition "pas régulière tout au long de l'année", ironise le syndicat.