TourMaG.com : Traveltainment sera-t-il la vedette du stand d’Amadeus à Top Resa ?
Jean-Louis Richard : Ce sera une des vedettes. Depuis qu’Amadeus a racheté l’entreprise allemande qui a développé ce produit, Traveltainment est appelé à remplacer progressivement Amadeus Leisure Platform.
En France, le réseau Thomas Cook l’utilise déjà depuis un an puisqu’il a la maîtrise d’une partie de la technologie. Nous avons une équipe dédiée de 12 personnes qui travaille à peaufiner Traveltainment pour le marché français. Il sera prêt à la fin de l’année.
TourMaG.com : Amadeus Leisure Platform n’a pas véritablement convaincu les professionnels. Quelles conséquences en tirez-vous ?
Jean-Louis Richard : L'appréciation de l'outil varie. ALP a été développé comme un outil de réservation pour les vendeurs et un outil de contrôle pour les gestionnaires. Les agents de comptoir l’utilisent comme un moteur de recherche et un comparateur mais au moment de la réservation, ALP ne se substitue pas aux moteurs de réservation des tour-opérateurs. D’où un bilan mitigé sur le produit.
Jean-Louis Richard : Ce sera une des vedettes. Depuis qu’Amadeus a racheté l’entreprise allemande qui a développé ce produit, Traveltainment est appelé à remplacer progressivement Amadeus Leisure Platform.
En France, le réseau Thomas Cook l’utilise déjà depuis un an puisqu’il a la maîtrise d’une partie de la technologie. Nous avons une équipe dédiée de 12 personnes qui travaille à peaufiner Traveltainment pour le marché français. Il sera prêt à la fin de l’année.
TourMaG.com : Amadeus Leisure Platform n’a pas véritablement convaincu les professionnels. Quelles conséquences en tirez-vous ?
Jean-Louis Richard : L'appréciation de l'outil varie. ALP a été développé comme un outil de réservation pour les vendeurs et un outil de contrôle pour les gestionnaires. Les agents de comptoir l’utilisent comme un moteur de recherche et un comparateur mais au moment de la réservation, ALP ne se substitue pas aux moteurs de réservation des tour-opérateurs. D’où un bilan mitigé sur le produit.
TourMaG.com : Y aura-t-il d’autres outils en démonstration sur le stand ?
Jean-Louis Richard : Bien sûr. Nous aurons le portail PME/PMI que nous avons défini avec American Express l’année dernière et qui est désormais commercialisable pour des agences de taille plus modeste qui souhaitent présenter une solution légère de SBT à leurs clients Affaires.
Sur le stand nous aurons aussi un outil de réservations d’activités Loisirs complémentaires aux séjours comme des excursions ou des spectacles. Cet outil , Amadeus activities & entertainments a été développé par une autre entreprise allemande, Unaira.
Et puis, nous allons mettre l’accent sur le service consulting que nous avons créé l’année dernière pour aider les agents à optimiser leurs process.
Et enfin, il y aura sur le stand une borne self service d’achats de voyages. C’est un prototype que nous avons développé et je suis curieux de voir la réaction des agents sur cet objet.
TourMaG.com : Amadeus sponsorise également l’espace Odyssée numérique sur le salon. Qu’allons-nous découvrir cette année ?
Jean-Louis Richard : Des développements plus en phase avec le métier d’agent de voyages. L’année dernière, nous avions eu trois mois seulement pour trouver les prestataires et les démonstrations étaient plus ou moins proches des agents de voyages. Cette année, elles le seront vraiment.
TourMaG.com : La rentrée s’effectue dans une certaine morosité. Comment ressentez-vous le marché ?
Jean-Louis Richard : Cela fait trois ou quatre ans qu’on nous annonce une rentrée difficile et finalement, ça passe. Les agences ont relativement bien résisté. Elles ont su s’adapter - à la suppression des commissions, par exemple.
C’était des bouleversements internes à la profession. Cette année, pour la première fois, elles ont à faire face à des bouleversements externes comme la conjoncture difficile, le prix du pétrole. On se doit d’être vigilant sur ce qui peut se passer.
Mais notre rôle, c’est aussi d’apporter des solutions à la profession pour passer des caps difficiles. Par exemple, les agences ont pris conscience que l’internet était un canal primordial. Mais il faut aller plus loin. Notre environnement doit devenir inter canal C’est-à-dire que tous les canaux de distribution doivent pouvoir se parler pour atteindre la performance optimale.
Jean-Louis Richard : Bien sûr. Nous aurons le portail PME/PMI que nous avons défini avec American Express l’année dernière et qui est désormais commercialisable pour des agences de taille plus modeste qui souhaitent présenter une solution légère de SBT à leurs clients Affaires.
Sur le stand nous aurons aussi un outil de réservations d’activités Loisirs complémentaires aux séjours comme des excursions ou des spectacles. Cet outil , Amadeus activities & entertainments a été développé par une autre entreprise allemande, Unaira.
Et puis, nous allons mettre l’accent sur le service consulting que nous avons créé l’année dernière pour aider les agents à optimiser leurs process.
Et enfin, il y aura sur le stand une borne self service d’achats de voyages. C’est un prototype que nous avons développé et je suis curieux de voir la réaction des agents sur cet objet.
TourMaG.com : Amadeus sponsorise également l’espace Odyssée numérique sur le salon. Qu’allons-nous découvrir cette année ?
Jean-Louis Richard : Des développements plus en phase avec le métier d’agent de voyages. L’année dernière, nous avions eu trois mois seulement pour trouver les prestataires et les démonstrations étaient plus ou moins proches des agents de voyages. Cette année, elles le seront vraiment.
TourMaG.com : La rentrée s’effectue dans une certaine morosité. Comment ressentez-vous le marché ?
Jean-Louis Richard : Cela fait trois ou quatre ans qu’on nous annonce une rentrée difficile et finalement, ça passe. Les agences ont relativement bien résisté. Elles ont su s’adapter - à la suppression des commissions, par exemple.
C’était des bouleversements internes à la profession. Cette année, pour la première fois, elles ont à faire face à des bouleversements externes comme la conjoncture difficile, le prix du pétrole. On se doit d’être vigilant sur ce qui peut se passer.
Mais notre rôle, c’est aussi d’apporter des solutions à la profession pour passer des caps difficiles. Par exemple, les agences ont pris conscience que l’internet était un canal primordial. Mais il faut aller plus loin. Notre environnement doit devenir inter canal C’est-à-dire que tous les canaux de distribution doivent pouvoir se parler pour atteindre la performance optimale.
