Le prix moyen du billet d'avion vendu dans les agences poursuit sa dégringolade. DR-© Oleksiy Mark - Fotolia.com
Les ventes de billetterie aérienne dans les agences de voyages françaises sont en petite forme.
En 2015, le chiffre d’affaires global du BSP, qui n’inclut pas les compagnies low cost, est en chute de 3,4% pour 8,9 milliards d'euros toutes taxes comprises.
Près de 20,5 millions de transactions ont été effectuées, en recul de 1,67%.
Par conséquent, le prix moyen du billet d’avion chute de 8 points à 433 euros contre 441 euros en 2014.
Il retrouve ainsi son niveau de 2009, après avoir connu de nombreux dérèglements en sept ans.
En 2015, le chiffre d’affaires global du BSP, qui n’inclut pas les compagnies low cost, est en chute de 3,4% pour 8,9 milliards d'euros toutes taxes comprises.
Près de 20,5 millions de transactions ont été effectuées, en recul de 1,67%.
Par conséquent, le prix moyen du billet d’avion chute de 8 points à 433 euros contre 441 euros en 2014.
Il retrouve ainsi son niveau de 2009, après avoir connu de nombreux dérèglements en sept ans.
Le nombre d'agences agréées IATA progresse
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La tendance sur les premières semaines de l’année 2016 ne s’annonce pas meilleure, avec un prix moyen à 413 euros.
Face aux attentats et à la morosité ambiante, les compagnies ont bradé leurs sièges pour remplir les avions. Une tendance similaire dans les autres BSP européens.
Le volume d’affaires brut de janvier s’établit à 764 millions d’euros, en baisse de 1,9%, pour un nombre de transactions en hausse de 4,6% (1,85 million de billets vendus).
Le montant des impayés est resté stable en 2015 jusqu’à la défaillance d’agences spécialisées dans le trafic ethnique en fin d’année, pour un montant de 7 millions d’euros, contre 3,8 millions en 2014.
En janvier dernier, c’est encore une agence spécialisée dans le trafic ethnique qui a mis la clé sous la porte, laissant une ardoise de 3 à 4 millions d’euros.
Mais tout n’est pas si noir dans le monde de l'aérien français.
Pour la première fois depuis dix ans, le nombre d’agréments progresse, avec 1 340 agences, contre 1 331 en 2014. Un petit espoir dans un marché bien instable.
Face aux attentats et à la morosité ambiante, les compagnies ont bradé leurs sièges pour remplir les avions. Une tendance similaire dans les autres BSP européens.
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En janvier dernier, c’est encore une agence spécialisée dans le trafic ethnique qui a mis la clé sous la porte, laissant une ardoise de 3 à 4 millions d’euros.
Mais tout n’est pas si noir dans le monde de l'aérien français.
Pour la première fois depuis dix ans, le nombre d’agréments progresse, avec 1 340 agences, contre 1 331 en 2014. Un petit espoir dans un marché bien instable.
