Dans un communiqué diffusé ce lundi 3 octobre 2016, le syndicat des compagnies aériennes autonomes (SCARA) se félicite que plusieurs députés se joignent à sa position au sujet du financement de la future ligne CDG-Express.
Lors de discussions à l'Assemblée nationale, ils ont "explicitement refusé le recours aux compagnies aériennes" pour financer le projet.
Par ailleurs, le SCARA estime que "compte tenu des lacunes techniques du projet, il est à craindre que le coût réel du projet soit beaucoup plus élevé que celui annoncé".
Le syndicat s'inquiète alors "des inévitables augmentations budgétaires d'un projet de cette envergure". Il est actuellement estimé à 1,7 milliard d'euros.
Lors de discussions à l'Assemblée nationale, ils ont "explicitement refusé le recours aux compagnies aériennes" pour financer le projet.
Par ailleurs, le SCARA estime que "compte tenu des lacunes techniques du projet, il est à craindre que le coût réel du projet soit beaucoup plus élevé que celui annoncé".
Le syndicat s'inquiète alors "des inévitables augmentations budgétaires d'un projet de cette envergure". Il est actuellement estimé à 1,7 milliard d'euros.
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