Air France/KLM, au départ d’Amsterdam, est la seule compagnie européenne, pour l’instant, à desservir Chengdu, à l‘ouest de la Chine. Une porte d’entrée idéale pour le Yunnan à une heure d’avion de Kunming, ou pour le Tibet à deux heures d’avion de Lhassa. Pourtant, il serait dommage de ne faire que transiter à Chengdu.
La ville en pleine mutation architecturale garde néanmoins dans certains quartiers l’allure de la Chine des années 70 avec ses petits marchés et ses courées traditionnelles où les petites mamies ridées veillent avec amour sur leurs petits enfants.
A découvrir sans plus tarder si l’on en juge par la vitesse des plans de modernisation qui relogent les habitants dans des immeubles plus neufs et plus confortables, toujours plus loin du centre de la ville qui lui, se donne des allures de Manhattan avec ses larges avenues bordées des boutiques de luxe aux enseignes occidentales les plus sophistiquées.
Un renouveau architectural
Depuis la décision prise en 1999 par le gouvernement central chinois d’apporter le développement économique à la province principalement agricole du Sichuan, sa capitale a changé de physionomie.
L’aéroport (le cinquième de Chine en terme de trafic), les trois périphériques qui entourent l‘agglomération, une ligne de métro dont la construction sera terminée en 2008 : autour des infrastructures du transport, des immeubles nouveaux jaillissent à perte de vue.
La ville en pleine mutation architecturale garde néanmoins dans certains quartiers l’allure de la Chine des années 70 avec ses petits marchés et ses courées traditionnelles où les petites mamies ridées veillent avec amour sur leurs petits enfants.
A découvrir sans plus tarder si l’on en juge par la vitesse des plans de modernisation qui relogent les habitants dans des immeubles plus neufs et plus confortables, toujours plus loin du centre de la ville qui lui, se donne des allures de Manhattan avec ses larges avenues bordées des boutiques de luxe aux enseignes occidentales les plus sophistiquées.
Un renouveau architectural
Depuis la décision prise en 1999 par le gouvernement central chinois d’apporter le développement économique à la province principalement agricole du Sichuan, sa capitale a changé de physionomie.
L’aéroport (le cinquième de Chine en terme de trafic), les trois périphériques qui entourent l‘agglomération, une ligne de métro dont la construction sera terminée en 2008 : autour des infrastructures du transport, des immeubles nouveaux jaillissent à perte de vue.
La grande place centrale autrefois blafarde et nue, dominée par la grande statue blanche de Mao s’est embellie d’arbres et de fleurs et a pris une allure singapourienne tant le plan de propreté mis en place depuis plusieurs mois dans l’ensemble du centre ville semble efficace! Paradoxalement, les jeunes de Chengdu semblent apprécier les rues reconstituées à l’ancienne où boutiques et restaurants proposent simultanément à goûter à l’Occident comme à l’Orient.
Une civilisation à découvrir
Conséquence des constructions à tout-va, l’excavation d’un site archéologique qui a mis à jour plus de 6 000 objets témoins de la civilisation Jinsha du royaume Shu. Une découverte de toute première importance pour laquelle les autorités ont décidé de construire un musée dédié qui ouvrira ses portes dans quelques jours.
Le site des excavations qui vont continuer, par ailleurs, sera également ouvert au public qui pourra ainsi observer le travail des archéologues. Une richesse supplémentaire pour le patrimoine touristique dont la grande attraction reste le centre de préservation du panda géant qui permet au public de voir évoluer ces grosses peluches vivantes dans un habitat reconstitué.
Une politique tournée vers le tourisme
De quoi nourrir le patrimoine touristique pour cette ville que les autorités chinoises ont désigné l’année dernière comme ville touristique. Elle a accueilli 570 000 touristes étrangers dont 120 000 Japonais, 90 000 Américains et 78 000 Européens (dont 17 000 Français).
Chengdu est également un centre économique avec l’implantation d’une centaine d’entreprises internationales et notamment celle, récente, du quartier général du distributeur Carrefour en Chine. L’agglomération compte 138 hôtels (8 cinq étoiles, 15 quatre étoiles, etc). Et ce n’est qu’un début.
Une civilisation à découvrir
Conséquence des constructions à tout-va, l’excavation d’un site archéologique qui a mis à jour plus de 6 000 objets témoins de la civilisation Jinsha du royaume Shu. Une découverte de toute première importance pour laquelle les autorités ont décidé de construire un musée dédié qui ouvrira ses portes dans quelques jours.
Le site des excavations qui vont continuer, par ailleurs, sera également ouvert au public qui pourra ainsi observer le travail des archéologues. Une richesse supplémentaire pour le patrimoine touristique dont la grande attraction reste le centre de préservation du panda géant qui permet au public de voir évoluer ces grosses peluches vivantes dans un habitat reconstitué.
Une politique tournée vers le tourisme
De quoi nourrir le patrimoine touristique pour cette ville que les autorités chinoises ont désigné l’année dernière comme ville touristique. Elle a accueilli 570 000 touristes étrangers dont 120 000 Japonais, 90 000 Américains et 78 000 Européens (dont 17 000 Français).
Chengdu est également un centre économique avec l’implantation d’une centaine d’entreprises internationales et notamment celle, récente, du quartier général du distributeur Carrefour en Chine. L’agglomération compte 138 hôtels (8 cinq étoiles, 15 quatre étoiles, etc). Et ce n’est qu’un début.
Air France en Chine
Avec l’introduction du programme d’été, Air France renforce sa présence en Chine avec 13 vols par semaine sur Hong Kong au lieu de 10, 12 vols sur Shanghai, un bi quotidien sur Pékin, six vols sur Canton.
KLM de son côté opère au départ d’Amsterdam, un quotidien sur Pékin, 10 vols sur Shanghai, un quotidien sur Hong Kong et aussi trois vols par semaine sur Chengdu. A noter que ce dernier vol est opéré,depuis le 25 mars, en double code AF/KL.
Avec l’introduction du programme d’été, Air France renforce sa présence en Chine avec 13 vols par semaine sur Hong Kong au lieu de 10, 12 vols sur Shanghai, un bi quotidien sur Pékin, six vols sur Canton.
KLM de son côté opère au départ d’Amsterdam, un quotidien sur Pékin, 10 vols sur Shanghai, un quotidien sur Hong Kong et aussi trois vols par semaine sur Chengdu. A noter que ce dernier vol est opéré,depuis le 25 mars, en double code AF/KL.
