Serge Trigano c’est "Le Club dans la peau"
Autres articles
Et il veille à maintenir les valeurs fondatrices dans la rigueur et la discipline. A ses yeux le Club est une équipe. Qu’il faut maintenir soudée. Unie. Serge Trigano c’est « Le Club dans la peau ».
En faisant appel à lui, Andrea Bonomi souligne et prend en considération ce que fût, ce qu’est et sera toujours le Club Méditerranée : une entreprise faite de femmes et d’hommes au service d’une sage et audacieuse ambition partagée, mise au service de ceux qui l’aiment suffisamment pour s’y plaire et en faire un lieu de destination privilégié et renouvelé.
Cette reconnaissance, sans complaisance, s’appuie sur des dires stratégiques qui devront être confirmés. Mais aussi sur la prise en compte de paramètres essentiels liés à la réalité économique des rémunérations et à l’évolution démographique en cours.
Ainsi il paraît essentiel de forcer le destin en mettant en place une offre susceptible de réconcilier le Club avec la jeunesse. Les Villages qui se situent aujourd’hui hors du périmètre marketing haut de gamme ouvrent l’opportunité de proposer une offre comparable à ce que furent les Villages Aquarius.
Leur développement en France et dans les pays riverains du sud participerait à la réduction nécessaire des prix pour attirer cette clientèle.
Parallèlement il convient de considérer le vieillissement des populations occidentales. Les seniors ont deux qualités, rarement associées : l’argent et le temps. Ils constituent une cible de choix.
Capables de contribuer aux solutions à apporter aux problèmes liés à la saisonnalité, clés essentielles de la rentabilité des entreprises du secteur touristique. Sans oublier les séminaires d’entreprise qui ont apporté sous la férule d’une autre Trigano : Sylvie, une très forte contribution aux résultats du Club.
L’Europe et la France sont remises en question. Suffisamment pour que certains immigrent vers de nouveaux territoires. Suffisamment pour que des chefs d’entreprise discernent en Asie ou en Amérique Latine de nouveaux Eldorado.
En faisant appel à lui, Andrea Bonomi souligne et prend en considération ce que fût, ce qu’est et sera toujours le Club Méditerranée : une entreprise faite de femmes et d’hommes au service d’une sage et audacieuse ambition partagée, mise au service de ceux qui l’aiment suffisamment pour s’y plaire et en faire un lieu de destination privilégié et renouvelé.
Cette reconnaissance, sans complaisance, s’appuie sur des dires stratégiques qui devront être confirmés. Mais aussi sur la prise en compte de paramètres essentiels liés à la réalité économique des rémunérations et à l’évolution démographique en cours.
Ainsi il paraît essentiel de forcer le destin en mettant en place une offre susceptible de réconcilier le Club avec la jeunesse. Les Villages qui se situent aujourd’hui hors du périmètre marketing haut de gamme ouvrent l’opportunité de proposer une offre comparable à ce que furent les Villages Aquarius.
Leur développement en France et dans les pays riverains du sud participerait à la réduction nécessaire des prix pour attirer cette clientèle.
Parallèlement il convient de considérer le vieillissement des populations occidentales. Les seniors ont deux qualités, rarement associées : l’argent et le temps. Ils constituent une cible de choix.
Capables de contribuer aux solutions à apporter aux problèmes liés à la saisonnalité, clés essentielles de la rentabilité des entreprises du secteur touristique. Sans oublier les séminaires d’entreprise qui ont apporté sous la férule d’une autre Trigano : Sylvie, une très forte contribution aux résultats du Club.
L’Europe et la France sont remises en question. Suffisamment pour que certains immigrent vers de nouveaux territoires. Suffisamment pour que des chefs d’entreprise discernent en Asie ou en Amérique Latine de nouveaux Eldorado.
