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FRAM a-t-il perdu la confiance de ses clients historiques ?

les distributeurs analysent la situation


Les ventes sont très en retard depuis début 2016 chez FRAM. Les nouveaux propriétaires et la direction s'attendaient à une année de transition en 2016, mais la reprise semble poussive. Les distributeurs, responsables d'Ambassades FRAM et la direction nous livrent leur analyse de la situation.


Rédigé par Pierre CORONAS le Lundi 30 Mai 2016

Les Ambassades FRAM attendent un nouveau contrat - Photo : FRAM
Les Ambassades FRAM attendent un nouveau contrat - Photo : FRAM
Les temps sont durs pour FRAM.

Après un net ralentissement des ventes lorsque les difficultés financières sont apparues au grand jour et même un arrêt des activités au moment du dépôt de bilan et de la liquidation judiciaire, en novembre dernier, 2016 fait figure d'année de transition pour le groupe toulousain.

Les nouveaux propriétaires, LBO France, et la nouvelle direction du tour-opérateur (TO) épaulée par celle de Karavel-PromoVacances s'attendaient à une reprise progressive.

Selon les chiffres que nous avons pu obtenir, elle est même poussive. Les réservations de séjours FRAM sont en baisse de 40 % à 70 %, selon les segments.

Un retard général qui est largement constaté par les distributeurs. Et qui devrait entraîner des pertes financières plus élevées que prévues à la fin de l'exercice...

"Si l'agent de voyages n'a rien à vendre, il ne vend pas"

Dans le cadre des 7e Forces de Vente Affaires qui se tenaient du 19 au 22 mai 2016 à Montréal (Canada), Bernard Garcia, co-président de la commission Dynamique du de Sélectour Afat, a estimé que "le redémarrage de FRAM est plus que poussif au sein du réseau."

Selon lui, c'est le manque d'offres de séjours et de sièges au départ des aéroports de province qui entraîne une baisse des ventes dans les points de vente.

"Si l'agent de voyages n'a rien à vendre, il ne vend pas", résume Bernard Garcia.

Un déficit d'offres que déplore aussi Christine Fumeau, présidente-directrice générale (PDG) d'Evazion, agence groupiste basée dans le Tarn-et-Garonne (82). "Surtout sur les vols au départ de Toulouse", précise-t-elle.

Une opinion que partage le dirigeant d'un réseau d'agences de voyages qui préfère rester anonyme. Dans les points de vente de son groupe, les ventes de FRAM reculent d'environ 50 % depuis le dépôt de bilan.

Il l'explique, en premier lieu, par la dégradation de l'image de FRAM après le traitement médiatique de sa défaillance en 2015. "Les journaux ont beaucoup plus parlé du dépôt de bilan que de la reprise", confirme le patron d'une Ambassade FRAM située dans l'Ouest de la France.

Par ailleurs, le patron du réseau d'agences considère que "c'est plutôt un FRAM/PromoVacances qui est en train de naître. Et ce n'est pas forcément ce qui correspond aux attentes des clients historiques de FRAM".

Un argument que balaie Isabelle Cordier, la nouvelle directrice générale de FRAM. "La clientèle de Karavel n'est pas la même que celle de FRAM, nous en sommes bien conscients. C'est pour cela que nous avons conservé 75 % de la production de l'ancien FRAM.

La mutualisation se fait uniquement sur les achats. Pas sur les produits. Karavel reste Karavel et FRAM reste FRAM
", martèle-t-elle.

"Trois mois de retard" pour FRAM

Elle considère que la situation de FRAM est "conforme à ce qui se passe sur l'ensemble du marché", avec une baisse globale des ventes. En témoignent les résultats de la dernière édition du Baromètre Les Entreprises du Voyage/Atout France.

Elle reconnaît néanmoins une nette baisse des ventes qu'elle explique par le retard pris dans la production à la suite de la liquidation judiciaire.

"Dès décembre, les équipes de Karavel se sont mises en ordre de marche avec celles de FRAM pour tout refaire. Ils ont dû renégocier tous les contrats avec les réceptifs et les hôteliers, entre autres.

La brochure complète de FRAM pour 2016 est sortie plus tard que celles de ses concurrents. Cela a donc forcément eu un impact sur les ventes. Nous avons 3 mois de retard, mais tout cela est budgété
", rassure Isabelle Cordier.

Pourtant, au sein d'un mini-réseau français qui compte plusieurs Ambassades FRAM, si ces dernières "sont toutes dans le rouge avec des ventes globales en baisse de 7 à 12 % et bien au-delà sur la production FRAM", l'ensemble du réseau enregistre une hausse de 4 % de ses ventes depuis début 2016.

"Les pertes liées à FRAM sont nettement compensées par les ventes de séjours produits par d'autres TO", analyse le patron.

"Nous manquons plus de demandes que d'offres", confirme un autre patron de mini-réseau.

FRAM a-t-il perdu la confiance de ses clients historiques ? La directrice générale du groupe n'y croit pas et anticipe un important volume des ventes d'ultra-dernière minute début juillet, après l'Euro 2016 de football.

Du côté des salariés de FRAM, le portrait dressé est nettement plus sombre. "Beaucoup d'employés ont perdu leurs illusions. Ils pensent que la reprise est un échec et certains en viennent même à espérer que la boite se plante", regrette une source en interne.

Contrat Ambassades : "ne pas confondre vitesse et précipitation"

Par ailleurs, une autre difficulté se dessine pour la nouvelle direction de FRAM. Avec un dossier sensible à traiter : celui des Ambassades FRAM.

"Nous attendons toujours un nouveau contrat, s'impatiente Christine Fumeau, PDG d'Evazion. Un séminaire était prévu mais il a été plusieurs fois repoussé. Nous sommes dans une situation floue en ce moment."

Une incertitude qui provoque l'inquiétude de plusieurs dirigeants d'Ambassades. "Nous restons optimistes, mais nous attendons de voir. Nous sommes plusieurs à réfléchir à un éventuel départ du réseau", ajoute Christine Fumeau.

Sur ce point, la DG de FRAM se veut rassurante :"Je n'ai pas l'habitude de confondre vitesse et précipitation. Nous avons prévu 3 jours de rencontres avec les Ambassades, en juin, pour les écouter et voir, ensuite, comment nous pouvons avancer ensemble."

Le séminaire devrait avoir lieu en septembre 2016. Et, à ce moment-là, les Ambassades pourraient se voir proposer deux contrats différents selon leur implication dans le réseau. "Il est compliqué de mettre en place les mêmes conditions pour les agences qui ont l'enseigne FRAM et l'exclusivité pour les produits et pour celles qui n'ont pas l'enseigne", estime Isabelle Cordier.

Des contrats auxquels sera certainement liée une charte pour définir l'organisation physique et graphique des points de vente. De quoi fédérer autour de valeurs et d'objectifs communs.

Mais, malgré cet optimisme officiel, certains dirigeants de FRAM parlent, en off, du groupe comme d'un malade qui vit grâce aux transfusions de son propriétaire LBO France.

Et si l'on en croit la réputation du fonds d'investissement, il n'y aura pas d'acharnement thérapeutique.

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Commentaires
Du plus récent au plus ancien | Du plus ancien au plus récent

16.Posté par Winnie Ourson le 30/05/2016 12:09 | Alerter
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@grain de sel: OK, je ne pensais pas que c'était à ce point, on ne sait pas tout.
De l'extérieur, on a l'impression que FRAM est une belle endormie qui n'attend qu'à se réveiller.

Et qu'est qu'il faut faire maintenant, selon vous ?

15.Posté par Winnie Ourson le 30/05/2016 11:58 | Alerter
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@pour papagolf:
"En revanche si "comment on lui vend" est encore vrai, il me semble régresser.
On peut prendre quelqu'un pour..." --> c'est vrai, t'as raison. Je me suis mal exprimé et je n'avais pas vu la chose sous cet angle.

Je pensais plutôt à tous les services avant, pendant et après le voyage. Car réserver un voyage sur le site du Club Med ou dans une agence Club Med, le voyage proprement-dit reste le même. Ce qui change, c'est la valeur ajoutée par un vendeur ou par l'agence.

14.Posté par grain de sel le 30/05/2016 11:40 | Alerter
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à Winnie la grande ourse : Ils cherchent tout simplement à partir parce qu'ils ne supportent pas la pression maximale des nouveaux dirigeants, et qu'ils en sont venus à se demander s'ils étaient vraiment aptes à reprendre et à redresser un circuit de production traditionnel parti à la dérive. C'était urgent de fonctionner ainsi dès la reprise pour rattraper tout ce temps perdu mais trop, c'est trop !

Entre deux maux, on choisit le moindre.

Soyez rassuré(e) : l'ambiance dont il est question n'est pas une vue de l'esprit, c'est la réalité.

13.Posté par Ex-fan de FRAM le 30/05/2016 11:30 | Alerter
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Il n'est pas étonnant que les ventes restent bien en dessous de ce que les nouveaux propriétaires et dirigeants auraient souhaité. L'environnement général n'est certes pas favorable. Cependant, la triste réalité qui s'impose aujourd'hui ne résulte pas uniquement "des attentats, des grèves, de la crise", et je ne sais quels autres raisons qu'on pourrait encore invoquer pour justifier l'absence de réussite par des éléments dont on n'a pas la maîtrise.

Au bout d'à peine 6 mois, le constat est amer.
LBO a certainement étudié le dossier FRAM jusque dans les moindres détails, mais il y a fort à parier qu'il l'a fait d'un point de vue exclusivement financier. La santé de Karavel-Promovacances n'étant peut-être pas aussi éclatante qu'on a pu le dire, on peut se demander si ses dirigeants n'ont pas déployé tous leurs efforts pour convaincre le fonds d'investissement de se porter acquéreur de FRAM dans un réflexe de fuite en avant, avec l'espoir, sans aucun doute sincère, que moins par moins finirait bien par faire plus. Si tel était le cas, on peut craindre qu'à terme non seulement LBO ne sauve pas FRAM, mais encore que l'acquisition de la vieille maison toulousaine ne se révèle être une opération hasardeuse pour l'avenir de K-P. Il y aurait là matière à s'interroger pour les salariés du groupe eux-mêmes.
À ça s'ajoute surtout le fait que les nouveaux responsables donnent l'impression de ne pas véritablement connaître le travail d'un TO "classique" aussi bien qu'ils en étaient persuadés. Ils seraient en quelque sorte dans la situation de brillants étudiants qui, diplôme obtenu haut la main en poche, se retrouvent désarmés dès lors qu'ils sont sur le terrain et doivent agir concrètement.

Pour ce qui est de l'état d'esprit du personnel de FRAM, qui s'étonnera que, dans une maison à la "culture d'entreprise" aussi forte, il se dégrade au point que certains en arrivent à souhaiter le pire ? Les nouveaux dirigeants ont fait preuve de maladresse dans leur approche humaine et sociale, peut-être même, à en croire ce qu'on entend, de désinvolture et d'arrogance. Toujours est-il que les résultats que l'on annonçait il y a peu encore se font toujours cruellement attendre. Bien sûr, 6 mois ce n'est pas long, mais les perspectives à moyen terme restent incertaines, et dans la vie des entreprises comme en politique, si l'on ne tient pas très vite les promesses faites (trop souvent imprudemment), le retour de bâton ne tarde pas, et il peut faire très mal.

12.Posté par Winnie l''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''''Ourson le 30/05/2016 11:00 | Alerter
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@pour grain de sel
Oui, mais pourquoi ? C'est ce que j'aimerais comprendre. Pourquoi les salariés de FRAM s'en vont ? Ils ont gardé leur travail, leur salaire, leurs avantages.
D'accord c'est une période difficile à traverser mais au moins ils sont sûrs d'être payés à la fin du mois. Vu la situation économique de la France, quitter son CDI pour chercher un job c'est suicidaire. Passé la quarantaine - cinquantaine, c'est quasiment mission impossible. Et en plus s'ils quittent l'entreprise, ils n'ont ni indemnités chômage ni indemnités de licenciement.

Alors, pourquoi ? Sans allusion aucune, j'aimerais comprendre, tout simplement qu'est qui fait que les salariés FRAM quittent leur emploi pour se jeter dans l'inconnu, sans remerciements, sans indemnités, sans droits chômage, sans assurance de trouver un emploi.

11.Posté par papagolf le 30/05/2016 10:52 | Alerter
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@Winnie l''''Ourson
"Mais ce qui change c'est les services qu'on met autour: une image de qualité, un suivi optimal, un service client avant, pendant et après le voyage."
C'est exactement ce que je dis.
En revanche si "comment on lui vend" est encore vrai, il me semble régresser.
On peut prendre quelqu'un pour...
Pour le reste, Kuoni et NF ont eu la même réceptif sur le Kenya (A.K.), mais pas les mêmes produits...

10.Posté par grain de sel le 30/05/2016 10:42 | Alerter
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deuxième chance ?

Terme peu approprié, si on se fie aux nombreuses demandes de départ de salariés depuis la reprise.
Le plan social avait été retoqué à la hausse : il est en passe d'être pulvérisé.

Les clients fuient... le personnel aussi, hélas !

9.Posté par Winnie l''''Ourson le 30/05/2016 10:26 | Alerter
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@ Papagolf: le problème n'est pas vraiment à qui il l'achète mais comment on lui vend. Le client volera sur un vol en code share entre plusieurs TO. Il logera dans un club co-vendu par plusieurs TO, il sera accueilli par un réceptif qui l'année dernière travaillait pour un TO et cette année pour un autre TO.

La prestation ne change pas (l'hôtel ou le vol sera le même qu'il soit vendu par TUI, FRAM, Thomas Cook ou D-Reisen). Mais ce qui change c'est les services qu'on met autour: une image de qualité, un suivi optimal, un service client avant, pendant et après le voyage.

Ou alors un prix canon.

8.Posté par Winnie l''''Ourson le 30/05/2016 10:20 | Alerter
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D'accord avec la salariée de Karavel.
FRAM a eu une deuxième chance et on a l'impression que certains salariés le regrettent et qu'ils souhaitent que l'entreprise se plante.

J'ai rencontré un dirigeant de NG Travel qui m'a avoué que plus ça allait, plus ils sont convaincus que le dossier FRAM était (et il reste toujours) beaucoup plus compliqué à gérer que ce qu'il paraissait à l'époque. Et à voir comme ça tourne en ce moment, si c'était à refaire, ils ne seront pas surs de faire une offre de reprise.

7.Posté par papagolf le 30/05/2016 10:03 | Alerter
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@NOEUDDUPROBLEME
Et quand le client, finalement ne sait plus à qui il achète... les HEC+10 s'étonnent.

6.Posté par dies irae le 30/05/2016 09:51 | Alerter
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LBO n'aura pas besoin des sanglots du personnel Fram pour siffler la fin de la récréation.
Les résultats parlent d'eux-mêmes...

5.Posté par NOEUDDUPROBLEME le 30/05/2016 09:44 | Alerter
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@papagolf
Tout à fait d'accord, les financiers (comme les gestionnaires de vols d'ailleurs), ont la fâcheuse tendance d'oublier le principal... à savoir LES CLIENTS....

4.Posté par papagolf le 30/05/2016 09:31 | Alerter
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Dépôts, absorptions, fusions, liquidations, consolidations...
Et si le tourisme était une activité trop sérieuse pour (ne) la confier (qu') à des financiers ?

3.Posté par NOEUDDUPROBLEME le 30/05/2016 09:21 | Alerter
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Mr GARCIA a parfaitement résumé le problème. Nos vendeurs se plaignent d'un manque de disponibilités. La semaine dernière Il n' y avait par exemple rien en dispo immédiate avec FRAM sur Ténérife sur le mois d'août au départ de NANTES !!!!! La vente s'est donc conclue ailleurs.....

2.Posté par Délicat mais décevant le 30/05/2016 09:20 | Alerter
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Je suis salariée Karavel Promovacances et pas toujours en adéquation avec mon pdg sur sa gestion de l'humain mais parce que notre entité gagne de l'argent.

De lire que certains salariés de Fram préfèrent que la société se plante, c'est quand même bien malheureux.
C'est donc tout le bonheur souhaité pour votre entreprise ? Et pour vos emplois ?

En tous cas, ne le criez pas trop fort, Lbo pourrait vous entendre!

1.Posté par dies irae le 30/05/2016 08:28 | Alerter
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"c'est plutôt un FRAM/PromoVacances qui est en train de naître. Et ce n'est pas forcément ce qui correspond aux attentes des clients historiques de FRAM".

Rigoureusement exact, bien que Mendonça s'en soit défendu au lendemain du jugement (voir + bas).

L'hémorragie de clientèle, déjà bien entamée avant le dépôt de bilan, s'est accentuée suite aux méthodes "énergiques" appliquées par le repreneur, privilégiant la rentabilité à tout prix, au détriment du facteur humain.

Ceci concerne aussi le personnel : la potion qui lui est administrée ne passe pas non plus.

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