La diversification ? Soyons réalistes, il n’en sort rien !
TM.com - Le devis payant de certaines agences crée la polémique. Quel est votre avis sur le sujet ?
GC : "Je trouve normal qu’une agence fasse payer ses conseils. Un devis, cela représente un certain temps de travail d’un collaborateur. Il est normal que cela soit rémunéré.
Si vous allez chez le médecin, il vous fera payer la consultation même s’il ne vous opère pas. Et bien, c’est pareil pour l’agent de voyages qui est le médecin du bonheur. Par contre, si le client achète, alors les frais de devis doivent lui être déduits."
TM.com - Où en est le projet commun avec l’APS de mettre en place un organisme de formation ?
GC : "Nous y travaillons également actuellement. Cette semaine nous devons décider de la forme juridique que prendra la société que nous allons créer.
Ensuite, il faudra du temps pour obtenir les agréments et par la suite, nous traiterons avec un organisme de formation les cours que nous voulons prodiguer. Avant la fin de l’année, cela devrait être installé."
TM.com - Le SNAV avait la volonté d’entamer une réflexion sur les pistes de diversification qu’autorise la nouvelle loi. Qu’en est-il ?
GC : "Nous ne sommes pas les seuls à vouloir y réfléchir Cela faisait partie de la réflexion du congrès de l’Ile de France ou encore du Cediv mais soyons réalistes, il n’en sort rien. Les professionnels ne sont pas enthousiastes. Ils ne sont pas mûrs ni dans leurs têtes, ni dans leurs locaux.
Il vaut mieux que l’agent de voyages fasse l’effort de devenir encore meilleur dans sa profession plutôt qu’il se disperse dans des activités annexes. Et d’ailleurs, à l’inverse, il n’y a pas non plus pléthore de nouveaux entrants qui voudraient s’essayer au métier d’agent de voyages."
TM.com - Quels seront les sujets de la rentrée pour le SNAV ?
GC : "En ce moment nous bouclons le dossier des nouveaux critères IATA qui seront décidés en octobre prochain. Bien sûr, ce ne sera pas le statu quo par rapport à cette année mais il ne faut pas non plus que les nouveaux critères pénalisent fortement les agences. Disons que sur ce dossier, je partirai en vacances l’esprit tranquille."
GC : "Je trouve normal qu’une agence fasse payer ses conseils. Un devis, cela représente un certain temps de travail d’un collaborateur. Il est normal que cela soit rémunéré.
Si vous allez chez le médecin, il vous fera payer la consultation même s’il ne vous opère pas. Et bien, c’est pareil pour l’agent de voyages qui est le médecin du bonheur. Par contre, si le client achète, alors les frais de devis doivent lui être déduits."
TM.com - Où en est le projet commun avec l’APS de mettre en place un organisme de formation ?
GC : "Nous y travaillons également actuellement. Cette semaine nous devons décider de la forme juridique que prendra la société que nous allons créer.
Ensuite, il faudra du temps pour obtenir les agréments et par la suite, nous traiterons avec un organisme de formation les cours que nous voulons prodiguer. Avant la fin de l’année, cela devrait être installé."
TM.com - Le SNAV avait la volonté d’entamer une réflexion sur les pistes de diversification qu’autorise la nouvelle loi. Qu’en est-il ?
GC : "Nous ne sommes pas les seuls à vouloir y réfléchir Cela faisait partie de la réflexion du congrès de l’Ile de France ou encore du Cediv mais soyons réalistes, il n’en sort rien. Les professionnels ne sont pas enthousiastes. Ils ne sont pas mûrs ni dans leurs têtes, ni dans leurs locaux.
Il vaut mieux que l’agent de voyages fasse l’effort de devenir encore meilleur dans sa profession plutôt qu’il se disperse dans des activités annexes. Et d’ailleurs, à l’inverse, il n’y a pas non plus pléthore de nouveaux entrants qui voudraient s’essayer au métier d’agent de voyages."
TM.com - Quels seront les sujets de la rentrée pour le SNAV ?
GC : "En ce moment nous bouclons le dossier des nouveaux critères IATA qui seront décidés en octobre prochain. Bien sûr, ce ne sera pas le statu quo par rapport à cette année mais il ne faut pas non plus que les nouveaux critères pénalisent fortement les agences. Disons que sur ce dossier, je partirai en vacances l’esprit tranquille."
