L’étude Deloitte 2007 "Les tendances de l'hôtellerie" s’appuie sur une base de données rassemblant les performances de 32% du parc hôtelier français (190 000 chambres). Les principaux indicateurs retenus sont le taux d’occupation (TO, qui mesure le taux de fréquentation d’un établissement), la recette moyenne par chambre louée (, RMC, prix réel de vente d’une chambre, en moyenne) et le revenu moyen par chambre disponible (RevPAR, Revenue Per Available Room).
Selon cette enquête, 2006 est l’année de l’accélération de la reprise pour l’hôtellerie « haut de gamme », qui avec un taux d’occupation et un prix moyen en hausse affiche une progression de 13% de son chiffre d’affaires hébergement. La clientèle loisirs est un élément clé de cette croissance.
L’hôtellerie de « milieu de gamme » (2 et 3 étoiles) observe une fin d’année favorable aux hôtels 3 étoiles alors que le taux d’occupation des hôtels 2 étoiles stagne.
Retour de la demande pour le haut et milieu de gamme
Pour l’hôtellerie « haut de gamme », comme de « milieu de gamme », on assiste à un retour progressif de la demande.
L’offre hôtelière 4 étoiles s’est sensiblement accrue au cours des dernières années. Malgré tout, la progression de l’occupation et du prix moyen dans l’ensemble des grandes agglomérations ont contribué à faire de 2006 une très bonne année.
Paris domine toujours très largement le paysage, avec un RevPAR moyen dépassant les 170€. La capitale affiche en outre l’une des plus belles croissances de France. En queue de peloton, Bordeaux, qui souffre d’un taux d’occupation annuel inférieur à 50%, enregistre un RevPAR de l’ordre de 60€.
Selon cette enquête, 2006 est l’année de l’accélération de la reprise pour l’hôtellerie « haut de gamme », qui avec un taux d’occupation et un prix moyen en hausse affiche une progression de 13% de son chiffre d’affaires hébergement. La clientèle loisirs est un élément clé de cette croissance.
L’hôtellerie de « milieu de gamme » (2 et 3 étoiles) observe une fin d’année favorable aux hôtels 3 étoiles alors que le taux d’occupation des hôtels 2 étoiles stagne.
Retour de la demande pour le haut et milieu de gamme
Pour l’hôtellerie « haut de gamme », comme de « milieu de gamme », on assiste à un retour progressif de la demande.
L’offre hôtelière 4 étoiles s’est sensiblement accrue au cours des dernières années. Malgré tout, la progression de l’occupation et du prix moyen dans l’ensemble des grandes agglomérations ont contribué à faire de 2006 une très bonne année.
Paris domine toujours très largement le paysage, avec un RevPAR moyen dépassant les 170€. La capitale affiche en outre l’une des plus belles croissances de France. En queue de peloton, Bordeaux, qui souffre d’un taux d’occupation annuel inférieur à 50%, enregistre un RevPAR de l’ordre de 60€.
L’hôtellerie 3 étoiles, avec une croissance de près de 4% du RevPAR, voit émerger trois tendances, d'une part la progression du RevPAR par la demande, sans amélioration des prix moyens : Bordeaux, Lyon, Marseille, Strasbourg, d'autre part la progression par la croissance des prix moyens : Rennes, Toulouse et enfin, la progression par la hausse conjointe de l’occupation et des prix moyens : dans la majorité des grandes villes.
L’année 2006 s’est également avérée favorable aux 2 étoiles, avec une croissance de RevPAR de l’ordre de 4%, le chiffre d’affaires hébergement augmentant via la hausse des prix moyens.
Hôtellerie économique progression de près de 3%
L’hôtellerie économique (0 et 1 étoile), qui se caractérise par l’homogénéité du prix moyen pratiqué, enregistre enfin une progression de près de 3% de son RevPAR entre 2005 et 2006.
Cette hausse est quasi exclusivement le fait de la progression du prix moyen, puisqu’au cours de la période le taux d’occupation a diminué d’environ 2%. Des tendances ambivalentes se font cependant jour dans ce secteur : si les produits les plus anciens et les moins bien adaptés à la demande enregistrent l’essentiel de la baisse d’occupation, les produits les plus récents ou rénovés résistent mieux et parviennent parfois même à accroître leur occupation.
www.deloitte.fr
Source Deloitte
L’année 2006 s’est également avérée favorable aux 2 étoiles, avec une croissance de RevPAR de l’ordre de 4%, le chiffre d’affaires hébergement augmentant via la hausse des prix moyens.
Hôtellerie économique progression de près de 3%
L’hôtellerie économique (0 et 1 étoile), qui se caractérise par l’homogénéité du prix moyen pratiqué, enregistre enfin une progression de près de 3% de son RevPAR entre 2005 et 2006.
Cette hausse est quasi exclusivement le fait de la progression du prix moyen, puisqu’au cours de la période le taux d’occupation a diminué d’environ 2%. Des tendances ambivalentes se font cependant jour dans ce secteur : si les produits les plus anciens et les moins bien adaptés à la demande enregistrent l’essentiel de la baisse d’occupation, les produits les plus récents ou rénovés résistent mieux et parviennent parfois même à accroître leur occupation.
www.deloitte.fr
Source Deloitte
