Stayzilla vient de lever 20 millions de dollars de fonds. La start-up avait déjà levé 500 000 dollars en 2012 et un montant non révélé en 2013 - DR : Capture d'écran Stayzilla
En Inde, Airbnb n’est pas le seul à proposer une alternative aux hôtels sur le marché. Stayzilla, une start-up indienne, vient de lever 20 millions de dollars de fonds.
Sa particularité ? Elle propose deux services complémentaires : des offres de logement variées (location cher l’habitant, hôtel, gîte, maison d’hôtes) et un service de conciergerie pour accueillir et aider le départ des clients.
Le co-fondateur, Yogendra Vasupal, explique dans TechCrunch : « la réservation de chambres chez les particuliers a explosé au cours de l’année dernière ».
Sa particularité ? Elle propose deux services complémentaires : des offres de logement variées (location cher l’habitant, hôtel, gîte, maison d’hôtes) et un service de conciergerie pour accueillir et aider le départ des clients.
Le co-fondateur, Yogendra Vasupal, explique dans TechCrunch : « la réservation de chambres chez les particuliers a explosé au cours de l’année dernière ».
22 000 chambres dans son catalogue
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En 2014, seulement 5% du catalogue concernait des chambres chez des particuliers.
En 2015, elles représentent 36% du catalogue, à savoir 22 000 chambres.
Une progression spectaculaire qui s’est ressentie dans l’augmentation du nombre de réservations : Stayzilla a gagné 2,8 millions de dollars en décembre dernier.
Un succès qui s’explique aussi par le modèle économique de la start-up : prendre des commissions sur les transactions.
Cette nouvelle levée de fonds va permettre à la jeune pousse, créée en 2010, d’employer plus et de développer une application mobile.
En 2015, elles représentent 36% du catalogue, à savoir 22 000 chambres.
Une progression spectaculaire qui s’est ressentie dans l’augmentation du nombre de réservations : Stayzilla a gagné 2,8 millions de dollars en décembre dernier.
Un succès qui s’explique aussi par le modèle économique de la start-up : prendre des commissions sur les transactions.
Cette nouvelle levée de fonds va permettre à la jeune pousse, créée en 2010, d’employer plus et de développer une application mobile.
