"Confronté à une panne mineure du système d’enregistreur des données en vol d’un Airbus A320 (Digital Flight Data Recorder DFDR), l’avion affrété par Air Partner n’a pas pu décoller dimanche matin." /photo dr
"En période de pic estival et spécialement le dimanche du 14 juillet, le marché européen de dépannages entre compagnies est totalement saturé, ce que savent les professionnels de l’aérien et du tourisme.
Confronté à une panne mineure du système d’enregistreur des données en vol d’un Airbus A320 (Digital Flight Data Recorder DFDR), l’avion affrété par Air Partner n’a pas pu décoller dimanche matin.
· Exposé à cette situation, Air Partner a dans l’urgence et parfois avec l’aide de ses clients Tour-Opérateurs procédé à la recherche de toutes les solutions possibles :
1) Dimanche matin, Air Partner a pris l’initiative d’obtenir les contacts du support Airbus et la documentation (ASM) manquante au mécanicien qui ont permis de gagner une journée dans le traitement du problème technique.
2) Air Partner, organisée en cellule d’urgence dès le dimanche (7 personnes mobilisées), a cherché un sous-affrètement auprès de toutes les compagnies européennes se heurtant à un manque total de disponibilités.
Cependant le bureau Air Partner Italie a malgré tout obtenu de la compagnie MISTRAL AIR une disponibilité exceptionnelle de sa flotte de réserve.
Confronté à une panne mineure du système d’enregistreur des données en vol d’un Airbus A320 (Digital Flight Data Recorder DFDR), l’avion affrété par Air Partner n’a pas pu décoller dimanche matin.
· Exposé à cette situation, Air Partner a dans l’urgence et parfois avec l’aide de ses clients Tour-Opérateurs procédé à la recherche de toutes les solutions possibles :
1) Dimanche matin, Air Partner a pris l’initiative d’obtenir les contacts du support Airbus et la documentation (ASM) manquante au mécanicien qui ont permis de gagner une journée dans le traitement du problème technique.
2) Air Partner, organisée en cellule d’urgence dès le dimanche (7 personnes mobilisées), a cherché un sous-affrètement auprès de toutes les compagnies européennes se heurtant à un manque total de disponibilités.
Cependant le bureau Air Partner Italie a malgré tout obtenu de la compagnie MISTRAL AIR une disponibilité exceptionnelle de sa flotte de réserve.
En raison des règles de repos équipages cet avion ne pouvait opérer qu’une liaison One Way et non l’aller-retour. Il a été décidé par la compagnie de privilégier le groupe Retour Kos/Paris car aucun Hôtel n’était disponible à KOS selon les informations disponibles.
3) De Dimanche à Lundi matin, Air Partner a réussi à faire transporter en quelques heures 800 passagers vers ou depuis la Grèce. Un Boeing 737 de remplacement puis un Airbus 321 de la compagnie Aigle Azur ont été affrétés.
Air Partner a également imposé le sous-affrètement de Trade Air (Fokker 100) évitant ainsi des retards plus conséquents le lundi. Certains Tour-Opérateurs avaient réussi à re-protéger des passagers complémentaires sur d’autres vols.
4) Air Partner a exigé de son fournisseur qu’un autre avion de la flotte soit utilisé. Cela a été accepté lundi en fin de matinée malgré le fait que cet avion ait pu retarder le départ d’un autre vol au Royaume-Uni.
· Cet éditorial critique les services d’Air Partner et qualifie à deux reprises l’avion affrété de « pourri » sans pouvoir expliquer en quoi ces éléments seraient fondés.
Il s’agit de dénigrements graves et non vérifiés qu’une recherche complémentaire auprès des acteurs cités aurait sans doute permis d’éclairer.
· Enfin, faut-il sérieusement qualifier de « silence radio » l’absence de réponse immédiate à un appel effectué au service H24 Opérations d’Air Partner à 19h afin d’en profiter pour publier un article dans la nuit sans autre vérification des informations données ?
3) De Dimanche à Lundi matin, Air Partner a réussi à faire transporter en quelques heures 800 passagers vers ou depuis la Grèce. Un Boeing 737 de remplacement puis un Airbus 321 de la compagnie Aigle Azur ont été affrétés.
Air Partner a également imposé le sous-affrètement de Trade Air (Fokker 100) évitant ainsi des retards plus conséquents le lundi. Certains Tour-Opérateurs avaient réussi à re-protéger des passagers complémentaires sur d’autres vols.
4) Air Partner a exigé de son fournisseur qu’un autre avion de la flotte soit utilisé. Cela a été accepté lundi en fin de matinée malgré le fait que cet avion ait pu retarder le départ d’un autre vol au Royaume-Uni.
· Cet éditorial critique les services d’Air Partner et qualifie à deux reprises l’avion affrété de « pourri » sans pouvoir expliquer en quoi ces éléments seraient fondés.
Il s’agit de dénigrements graves et non vérifiés qu’une recherche complémentaire auprès des acteurs cités aurait sans doute permis d’éclairer.
· Enfin, faut-il sérieusement qualifier de « silence radio » l’absence de réponse immédiate à un appel effectué au service H24 Opérations d’Air Partner à 19h afin d’en profiter pour publier un article dans la nuit sans autre vérification des informations données ?
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