Trop de luxe ?
Dernier obstacle, son prix : c’est un produit qui reste cher, réservé à une clientèle fortunée et donc exigeante.
«Nous ne serons jamais une destination low-cost à cause de nos charges fixes très importantes » explique Sophie Bessou directrice vente et marketing des hôtels Hilton. Ici un serveur gagne minimum 1500€. Avec de tels salaires, les employés sont moins nombreux qu’ailleurs.
Cependant, les coûts de personnels n’ont pas empêché les établissements 4 et 5 étoiles se s’approprier les plages du lagon. « Contrairement aux Seychelles ou à Maurice où il y a plus de produits intermédiaires, nous n’avons pas le volume suffisant pour ce type d'hébergements» poursuit Sophie Bessou.
Mais parfois le luxe sature. A Bora Bora, on compte 600 lits 5 étoiles qui ont parfois du mal à être vendus. « Avoir son adresse ici est indispensable pour une marque de luxe » estime Sébastien Maingourd, le directeur du Hilton Bora.
«Nous ne serons jamais une destination low-cost à cause de nos charges fixes très importantes » explique Sophie Bessou directrice vente et marketing des hôtels Hilton. Ici un serveur gagne minimum 1500€. Avec de tels salaires, les employés sont moins nombreux qu’ailleurs.
Cependant, les coûts de personnels n’ont pas empêché les établissements 4 et 5 étoiles se s’approprier les plages du lagon. « Contrairement aux Seychelles ou à Maurice où il y a plus de produits intermédiaires, nous n’avons pas le volume suffisant pour ce type d'hébergements» poursuit Sophie Bessou.
Mais parfois le luxe sature. A Bora Bora, on compte 600 lits 5 étoiles qui ont parfois du mal à être vendus. « Avoir son adresse ici est indispensable pour une marque de luxe » estime Sébastien Maingourd, le directeur du Hilton Bora.