La case de l'Oncle Dom : Elections Selectour Afat, la voix du Peuple !

Mon cher Dominique

J’aurais le triomphe modeste, vous-même avez écrit « les conneries c’est comme les impôts, on finit toujours par les payer ». Je ne désespère pas, je suis patient. Et en plus je vous apprécie.

Visiblement, une certaine surdité journalistique, sans doute aveuglée par quelques considérations imaginaires et haines personnelles, vous a conduit à prendre partie. Un mauvais parti.

Ce matin encore, vous essayez bien quelques coups de griffes et méfiances d’un lendemain qui déchante. Je crains que vous ne soyez pas le meilleur prévisionniste. Il y a quelques jours dans une vision africaine « vous évoquiez le tremblement de peur des éléphants » vous vouliez sans doute dire « le tremblement de rire des éléphants à la lecture de certains de vos arguments ».

Alea jacta est… Debouardis ejecteus est.
Dura lex sed lex... Vaironex isolatex est
La Bretagne ne vous porte pas chance. Je vous l’avais bien dit. Vous devriez m’écouter plus souvent ! Vous l’homme du sud devriez le savoir. Allez vous faire le pèlerinage de Nantes où « en quittant l’agence ils étaient 560 mais en arrivant au port à peine 142" ?

Méfiez vous des idées toutes faites, l’histoire vient de vous donner une leçon de changement à la française. Depuis que nous avons coupé la tête à Louis XVI nous admirons les royautés européennes. Nous sommes révolutionnaires mais pas trop.

Mais au-delà, vous avez raison. Les lendemains doivent chanter. L’argent doit arriver. Le business doit repartir sur des bases plus claires et transparentes. Ne vous focalisez pas sur les salaires et autres détails. Là n’est plus la question. Seul le développement du réseau compte !

Allez sans rancune et pour les prochaines élections écrivez moi.
D’ici là, moi, je vous écrirais

Bien à vous
Rick