Le 25 février dernier, le Syndicat National des Pilotes de Ligne demandait aux pilotes français de ne plus assurer les vols vers la République dominicaine. Cette décision faisait suite à l’emprisonnement de deux pilotes de ligne près de Punta Cana et ce depuis plus d’un an.
Le SNPL explique que "Ce boycott, suivi par de nombreux pilotes, a conduit certaines compagnies à réaménager en profondeur leur programme en diminuant de façon importante le nombre de vols vers la République dominicaine."
"Parallèlement, les actions que nous avons entreprises envers l'IFALPA (International Federation of Air Line Pilots’ Associations) qui représente plus de 100 000 pilotes dans le monde entier ont abouti (fait exceptionnel) à placer la République dominicaine sous le statut d’état en « déficience critique » en termes de sûreté."
Pour le SNPL, ces actions menées ont fait bouger le dossier, puisque l'instruction "qui avait été transférée vers le tribunal de Saint-Domingue a progressé rapidement, une date d’audience est prévue le 25 avril, date à laquelle la justice dominicaine s'est engagée à statuer à la fois sur une remise en liberté conditionnelle et sur le fond de l'affaire."
Le SNPL explique que "Ce boycott, suivi par de nombreux pilotes, a conduit certaines compagnies à réaménager en profondeur leur programme en diminuant de façon importante le nombre de vols vers la République dominicaine."
"Parallèlement, les actions que nous avons entreprises envers l'IFALPA (International Federation of Air Line Pilots’ Associations) qui représente plus de 100 000 pilotes dans le monde entier ont abouti (fait exceptionnel) à placer la République dominicaine sous le statut d’état en « déficience critique » en termes de sûreté."
Pour le SNPL, ces actions menées ont fait bouger le dossier, puisque l'instruction "qui avait été transférée vers le tribunal de Saint-Domingue a progressé rapidement, une date d’audience est prévue le 25 avril, date à laquelle la justice dominicaine s'est engagée à statuer à la fois sur une remise en liberté conditionnelle et sur le fond de l'affaire."