L'hôtel Hilton de Moorea
Une superbe plage de sable blanc, baignée par une mer turquoise où frayent des poissons multicolores. Des bungalows sur pilotis égrenés dans le lagon ponctué de coussins de corail. Des collines à la végétation luxuriante émergent de l’eau.
Cet environnement paradisiaque sert de décor aux deux hôtels Hilton de Polynésie. Installé depuis janvier 2009 dans l’archipel, l'enseigne a repris en contrat de franchise une adresse à Bora Bora et une à Moorea.
Surtout connue pour ses établissements urbains, la chaîne s’occupe pourtant d’une soixantaine de resorts en Asie-Pacifique.
« Sur le marché européen, les Hilton sont étiquetés comme hôtels d’affaires. Ce qui n’est pas le cas aux Etats-Unis. Il faut donc informer nos clients pour changer cette image » explique le directeur du Moorea, Olivier Larcher.
Cet environnement paradisiaque sert de décor aux deux hôtels Hilton de Polynésie. Installé depuis janvier 2009 dans l’archipel, l'enseigne a repris en contrat de franchise une adresse à Bora Bora et une à Moorea.
Surtout connue pour ses établissements urbains, la chaîne s’occupe pourtant d’une soixantaine de resorts en Asie-Pacifique.
« Sur le marché européen, les Hilton sont étiquetés comme hôtels d’affaires. Ce qui n’est pas le cas aux Etats-Unis. Il faut donc informer nos clients pour changer cette image » explique le directeur du Moorea, Olivier Larcher.
Des rénovations et des promotions
Les pilotis de Bora Bora
Il y a encore quelques mois, Hilton avait aussi un hôtel à Papeete. Mais il a été fermé en mars dernier pour manque de rentabilité. Car la concurrence est rude sur cette île avec le Méridien, le Sofitel et le Radisson présents sur le même créneau.
Même situation à Bora Bora, où les hôtels 5 étoiles ne manquent pas. « Avoir son adresse dans l'archipel est indispensable pour l’image d’une marque de luxe, même si ce n’est pas la destination la plus rentable » explique Sébastien Maingourd, le directeur du Bora Bora.
Pour faire face à la crise et à la concurrence, les hôtels ont donc multiplié les offres et promotions. Les tarifs moyens à Bora sont ainsi descendus à 150€, contre 250€ à Moorea. Ce dernier a réussi à maintenir ses prix grâce à son programme de rénovation.
« Depuis la fin des travaux, nous atteignons entre 65 et 80% de taux d’occupation et nous sommes leader sur l’île » se réjouit son directeur Oliver Larcher. L’établissement attend d’ailleurs sa cinquième étoile.
Même situation à Bora Bora, où les hôtels 5 étoiles ne manquent pas. « Avoir son adresse dans l'archipel est indispensable pour l’image d’une marque de luxe, même si ce n’est pas la destination la plus rentable » explique Sébastien Maingourd, le directeur du Bora Bora.
Pour faire face à la crise et à la concurrence, les hôtels ont donc multiplié les offres et promotions. Les tarifs moyens à Bora sont ainsi descendus à 150€, contre 250€ à Moorea. Ce dernier a réussi à maintenir ses prix grâce à son programme de rénovation.
« Depuis la fin des travaux, nous atteignons entre 65 et 80% de taux d’occupation et nous sommes leader sur l’île » se réjouit son directeur Oliver Larcher. L’établissement attend d’ailleurs sa cinquième étoile.
Des établissements de qualité
Pendant 9 mois, les ouvriers ont installé des piscines privées dans tous les bungalows et rénové les pilotis du Moorea. Ce sont d’ailleurs eux qui ont remporté tous les suffrages des agents de voyages présents fin novembre pour l’Eductour Hilton-Air Tahiti Nui.
Plantés dans un lagon encore plus clair que celui de Bora, ces pilotis en forme de hutte et aux toits tressés donnent l’impression de dormir sur un bateau. « Cet hôtel est un sans faute » s’enthousiasme Aline Jacquin d’Excellent Voyages.
Un engouement qu’il faudra répercuter sur les ventes, le Moorea n’accueillant que 7% de Français.
L’hôtel de Bora Bora a pour sa part séduit grâce à sa réception, construite sur l’eau, ainsi que par la variété des activités proposées, notamment les animations sur son Motu privé.
Un bémol toutefois sur la décoration, assez sombre et coloniale, qu’il faudrait selon certains agents rafraîchir un peu.
Mais tous sont unanimes sur la qualité du service et la restauration. Le groupe est reparti enchanté du séjour, à l’image de Ludivine Mercier : « je rêverai de revenir en Polynésie avec ma famille ! »
Plantés dans un lagon encore plus clair que celui de Bora, ces pilotis en forme de hutte et aux toits tressés donnent l’impression de dormir sur un bateau. « Cet hôtel est un sans faute » s’enthousiasme Aline Jacquin d’Excellent Voyages.
Un engouement qu’il faudra répercuter sur les ventes, le Moorea n’accueillant que 7% de Français.
L’hôtel de Bora Bora a pour sa part séduit grâce à sa réception, construite sur l’eau, ainsi que par la variété des activités proposées, notamment les animations sur son Motu privé.
Un bémol toutefois sur la décoration, assez sombre et coloniale, qu’il faudrait selon certains agents rafraîchir un peu.
Mais tous sont unanimes sur la qualité du service et la restauration. Le groupe est reparti enchanté du séjour, à l’image de Ludivine Mercier : « je rêverai de revenir en Polynésie avec ma famille ! »
