Etienne Tiberghien, directeur commercial et marketing des Villages Clubs Soleil
Les Villages Clubs du Soleil ont un fonctionnement assez unique dans le secteur du tourisme.
A l’origine association, crée à Orcières en 1969, elle devient une SA dont les parts restent détenues par l’association.
Grâce à cette structure capitalistique un peu particulière, pas de comptes à rendre à d’avides actionnaires.
Le groupe a pu tranquillement se développer en suivant son crédo d’origine : permettre au plus grand nombre de partir en vacances.
Et c’est une affaire qui marche. Avec un CA de 32M€ et un résultat prévisionnel de 1,4M€, les chiffres pour l’année 2010 sont excellents. Villages Clubs du Soleil a fait partir 65 000 vacanciers dans l’une de ses 8 destinations, toutes à la montagne, excepté le site de Saint Tropez.
A l’origine association, crée à Orcières en 1969, elle devient une SA dont les parts restent détenues par l’association.
Grâce à cette structure capitalistique un peu particulière, pas de comptes à rendre à d’avides actionnaires.
Le groupe a pu tranquillement se développer en suivant son crédo d’origine : permettre au plus grand nombre de partir en vacances.
Et c’est une affaire qui marche. Avec un CA de 32M€ et un résultat prévisionnel de 1,4M€, les chiffres pour l’année 2010 sont excellents. Villages Clubs du Soleil a fait partir 65 000 vacanciers dans l’une de ses 8 destinations, toutes à la montagne, excepté le site de Saint Tropez.
Le bien-être à la montagne
Depuis 2005, Villages Clubs Soleil ouvre un nouveau site par an. Prochain baptême, celui de Flaine, en Haute-Savoie.
« Nous reprenons un site auparavant géré par Mer Montagne Vacances » explique Etienne Tiberghien, directeur commercial et marketing. « Nous avons investit 3M€ en travaux, avec un gros développement sur le bien-être » poursuit-il.
Le groupe anticipe ainsi la nouvelle tendance. Car si auparavant les clients dévalaient les pistes de 9h à 17h, ils sont désormais en attente d’activités complémentaires.
« Les gens n’utilisent leur forfait que 3 ou 4 jours » confirme Etienne Tiberghien. Le reste du temps, il faut les occuper.
Sauna, hammam et jacuzzi, mais également balades en raquettes à la découverte de la montagne sont au programme des Villages Clubs du Soleil. Le tout bien entendu inclus dans le prix du séjour.
Un concept qui séduit particulièrement les familles, qui peuvent également laisser leurs enfants au mini-club.
« Nous reprenons un site auparavant géré par Mer Montagne Vacances » explique Etienne Tiberghien, directeur commercial et marketing. « Nous avons investit 3M€ en travaux, avec un gros développement sur le bien-être » poursuit-il.
Le groupe anticipe ainsi la nouvelle tendance. Car si auparavant les clients dévalaient les pistes de 9h à 17h, ils sont désormais en attente d’activités complémentaires.
« Les gens n’utilisent leur forfait que 3 ou 4 jours » confirme Etienne Tiberghien. Le reste du temps, il faut les occuper.
Sauna, hammam et jacuzzi, mais également balades en raquettes à la découverte de la montagne sont au programme des Villages Clubs du Soleil. Le tout bien entendu inclus dans le prix du séjour.
Un concept qui séduit particulièrement les familles, qui peuvent également laisser leurs enfants au mini-club.
Elargir la saisonnalité
Baser presque toute son activité sur la montagne pose forcément le problème de la saisonnalité. « 80% de notre chiffre d’affaire se fait l’hiver » confirme Etienne Tiberghien.
« Nous souhaitons nous développer en bord de mer pour avoir une amplitude d’ouverture plus large ». Le groupe est actuellement en pleine rénovation de son seul village sur le littoral, dans le golfe de Saint Tropez.
Autre axe de développement, la clientèle étrangère. Car pour le moment, 90% des clients sont français et plutôt fidèles. Etienne Tiberghien estime le taux de repeaters à 50%. Ce qui lui permet de faire la moitié de sa distribution en direct par internet et son propre call center.
Seulement 12% passe par les TO. Un partenariat qu’il aimerait développer, notamment pour accentuer sa commercialisation à l’étranger.
« Nous souhaitons nous développer en bord de mer pour avoir une amplitude d’ouverture plus large ». Le groupe est actuellement en pleine rénovation de son seul village sur le littoral, dans le golfe de Saint Tropez.
Autre axe de développement, la clientèle étrangère. Car pour le moment, 90% des clients sont français et plutôt fidèles. Etienne Tiberghien estime le taux de repeaters à 50%. Ce qui lui permet de faire la moitié de sa distribution en direct par internet et son propre call center.
Seulement 12% passe par les TO. Un partenariat qu’il aimerait développer, notamment pour accentuer sa commercialisation à l’étranger.
