Le nouveau design du site Liligo, plus instinctif et plus rapide pour naviguer.
La réussite de Liligo illustre parfaitement la tendance actuelle du tourisme : la désintermédiation.
Toutes les études le confirment, les voyageurs comparent systématiquement les offres sur le internet avant d’acheter.
Le succès de Liligo n’est pas donc pas étonnant. Lancé en 2006, il attire désormais près de 2 millions de visiteurs uniques chaque mois.
A chaque requête, le moteur examine les offres de 250 sites et 70 compagnies low-cost, qui couvrent 600 destinations et 15 000 trajets.
L’année dernière, la compagnie a généré un volume d’affaires de 150M€ auprès des agences de voyage et des compagnies aériennes. Son chiffre d’affaires est lui estimé à 4M€, avec une croissance de 100% en 2010.
Une performance que compte bien réitérer le directeur, Pierre Bonelli, sûr de son produit. “Nous sommes en seconde position sur le marché français, derrière Easy Voyages”.
Toutes les études le confirment, les voyageurs comparent systématiquement les offres sur le internet avant d’acheter.
Le succès de Liligo n’est pas donc pas étonnant. Lancé en 2006, il attire désormais près de 2 millions de visiteurs uniques chaque mois.
A chaque requête, le moteur examine les offres de 250 sites et 70 compagnies low-cost, qui couvrent 600 destinations et 15 000 trajets.
L’année dernière, la compagnie a généré un volume d’affaires de 150M€ auprès des agences de voyage et des compagnies aériennes. Son chiffre d’affaires est lui estimé à 4M€, avec une croissance de 100% en 2010.
Une performance que compte bien réitérer le directeur, Pierre Bonelli, sûr de son produit. “Nous sommes en seconde position sur le marché français, derrière Easy Voyages”.
Des fonctionnalités innovantes
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Lors de son lancement, Liligo se vantait de proposer l’offre la plus exhaustive du web, incluant les compagnies low-cost dans son comparatif.
Désormais imité par d’autres, Liligo tente de conserver une longueur d’avance. « Nous intégrons tous les frais obligatoires des low-cost sur notre page, pour que le voyageur n’ait pas de mauvaises surprises » insiste Pierre Bonelli.
D’autres fonctionnalités sont actuellement à l’étude. Ainsi, le futur Price Predictor tentera de déterminer le meilleur moment pour acheter son billet d’avion au meilleur prix.
L’application Iphone, lancée en février dernier a déjà été téléchargée 150 000 fois et génère 10% des recherches.
« Malheureusement, le taux de transformation est trois à quatre fois plus faible que sur le site, car les marchands ne disposent pas toujours d’interfaces adaptées aux Smartphones » déplore Pierre Bonelli. Par contre, l’Ipad, dont l’application a été lancée il y a 10 jours, semble plus prometteuse.
Désormais imité par d’autres, Liligo tente de conserver une longueur d’avance. « Nous intégrons tous les frais obligatoires des low-cost sur notre page, pour que le voyageur n’ait pas de mauvaises surprises » insiste Pierre Bonelli.
D’autres fonctionnalités sont actuellement à l’étude. Ainsi, le futur Price Predictor tentera de déterminer le meilleur moment pour acheter son billet d’avion au meilleur prix.
L’application Iphone, lancée en février dernier a déjà été téléchargée 150 000 fois et génère 10% des recherches.
« Malheureusement, le taux de transformation est trois à quatre fois plus faible que sur le site, car les marchands ne disposent pas toujours d’interfaces adaptées aux Smartphones » déplore Pierre Bonelli. Par contre, l’Ipad, dont l’application a été lancée il y a 10 jours, semble plus prometteuse.
Conserver sa neutralité
Liligo est actuellement présent dans 10 pays européens et compte se développer dans une dizaine d’autres en 2011. Pour le moment, 25% du volume d’affaire provient de ses sites étrangers. L’ambition est d’augmenter ce chiffre à 50%.
Son ouverture internationale, doublé de ses compétences informatiques, voilà ce qui semble avoir séduit la SNCF. Le groupe de transport a en effet pris une participation majoritaire dans le capital de l’entreprise en septembre dernier.
« Nous possédons la meilleure technologie du marché ainsi qu’une expertise pointue en matière d’interface » avance Pierre Bonelli lorsqu’on l’interroge sur l’intérêt suscité par son comparateur.
«Mais la participation de la SNCF à notre capital ne changera pas notre politique d’impartialité des résultats » assure le directeur. Aux internautes de juger.
Son ouverture internationale, doublé de ses compétences informatiques, voilà ce qui semble avoir séduit la SNCF. Le groupe de transport a en effet pris une participation majoritaire dans le capital de l’entreprise en septembre dernier.
« Nous possédons la meilleure technologie du marché ainsi qu’une expertise pointue en matière d’interface » avance Pierre Bonelli lorsqu’on l’interroge sur l’intérêt suscité par son comparateur.
«Mais la participation de la SNCF à notre capital ne changera pas notre politique d’impartialité des résultats » assure le directeur. Aux internautes de juger.
