Selon l’analyse de GEOS, "Cette grève nationale est organisée par les centrales syndicales nigériennes afin de dénoncer la réforme constitutionnelle du Président Tandja, validée par référendum le 4 août.
Les syndicats et l’opposition dénoncent en effet un « coup d’Etat » mené par le Président, qui peut désormais se maintenir à la tête du Niger pendant encore trois ans.
La CFDR a d’ailleurs annoncé hier la réhabilitation du Parlement, pourtant dissous le 26 mai par le Président.
Depuis plusieurs semaines, de nombreuses manifestations et conférences publiques ont été menées en protestation à la nouvelle Constitution.
Samedi dernier, plusieurs blessés ont été rapportés et de nombreuses personnes interpellées à Niamey lors de violents heurts entre forces de l'ordre et militants de l'opposition.
Il convient par conséquent de se tenir à l'écart de tout rassemblement politique et de toute manifestation mais également des bâtiments publics et symboles de l'Etat."
Les syndicats et l’opposition dénoncent en effet un « coup d’Etat » mené par le Président, qui peut désormais se maintenir à la tête du Niger pendant encore trois ans.
La CFDR a d’ailleurs annoncé hier la réhabilitation du Parlement, pourtant dissous le 26 mai par le Président.
Depuis plusieurs semaines, de nombreuses manifestations et conférences publiques ont été menées en protestation à la nouvelle Constitution.
Samedi dernier, plusieurs blessés ont été rapportés et de nombreuses personnes interpellées à Niamey lors de violents heurts entre forces de l'ordre et militants de l'opposition.
Il convient par conséquent de se tenir à l'écart de tout rassemblement politique et de toute manifestation mais également des bâtiments publics et symboles de l'Etat."