Sylvia Pinel, ministre du tourisme, et Fleur Pellerin, ministre chargée de l'innovation et de l'économie numérique ont visité ce matin l'hôtel Abaca dans le 15e arrondissement de Paris pour comprendre la main-mise des agences en ligne sur les établissements indépendants.
La propriétaire, Evelyne Maes, a détaillé l'ensemble des problématiques auxquelles elle doit faire face chaque jour : les taux de commissions exorbitants, la parité tarifaire, et bientôt la hausse de la TVA.
"Les ministres ont attentivement écouté. A force de marteler nous arriverons peut être à quelque chose" a t-elle expliqué.
La profession attend beaucoup du conseil européen de jeudi et vendredi où sera pour la première fois abordée la question du numérique. Fleur Pellerin devrait y plaider en faveur des hôteliers.
"Nous souhaitons une régulation des plateformes au niveau européen car les contraintes qu'elles imposent aux hôtelière sont contraire au bon fonctionnement du marché".
Si le diagnostic est bien posé, reste à trouver les solutions.
"J’espère que les agences en ligne vont se mettre autour de la table pour tempérer leurs ardeurs. Il en va désormais de leur image de marque " explique Jacques Barre le président du groupement national des chaînes hôtelières.
La propriétaire, Evelyne Maes, a détaillé l'ensemble des problématiques auxquelles elle doit faire face chaque jour : les taux de commissions exorbitants, la parité tarifaire, et bientôt la hausse de la TVA.
"Les ministres ont attentivement écouté. A force de marteler nous arriverons peut être à quelque chose" a t-elle expliqué.
La profession attend beaucoup du conseil européen de jeudi et vendredi où sera pour la première fois abordée la question du numérique. Fleur Pellerin devrait y plaider en faveur des hôteliers.
"Nous souhaitons une régulation des plateformes au niveau européen car les contraintes qu'elles imposent aux hôtelière sont contraire au bon fonctionnement du marché".
Si le diagnostic est bien posé, reste à trouver les solutions.
"J’espère que les agences en ligne vont se mettre autour de la table pour tempérer leurs ardeurs. Il en va désormais de leur image de marque " explique Jacques Barre le président du groupement national des chaînes hôtelières.