"La construction d'un établissement de grand standing est prévu en lieu et place du village des artisans qui sera déplacé et réaménagé. Papeete doit avoir son grand hôtel", a déclaré Gaston Flosse, lors de sa présentation au conseil municipal de Papeete des grandes lignes du nouveau statut de la Polynésie française.
Ce grand hôtel marquera la fin du front de mer. Au préalable, la piscine de Tipaerui, sur le chemin de ce nouveau front de mer, sera détruite et reconstruite sur un autre site. Son déplacement fera l'objet de discussion a averti Gaston Flosse. Le président a rappelé les autres travaux programmés à Papeete, pour la plupart déjà soumis à appel d'offres.
Parmi ces travaux, l'agrandissement de la place To'ata est un projet arrêté: les constructions de jardins, d’une plage suspendue, de plans d’eau, de deux snacks et de quatre restaurants sur la place sont programmées.
La plage suspendue, au profit des touristes et de la population "de l'arrière pays de Papeete", a indiqué Gaston Flosse, sera réalisée en vue de "permettre aux piroguiers de pouvoir débarquer et mettre leur pirogue à l'eau", a poursuivi Gaston Flosse.
80.000 personnes fréquentent Papeete quotidiennement
"La baignade ne sera pas possible dans la rade de Papeete. Cependant, les enfants pourront venir y jouer. Il est prévu en outre des parcs importants pour le pique-nique et autre, pour les familles. Le front de mer doit profiter aux touristes et aussi à la population". Les études concernant la place Vaiete se poursuivent.
La dernière solution envisage "la création, en aérien, d'un niveau supérieur pour les piétons, tandis que le flot de véhicules passerait en-dessous de cette zone", a décrit Gaston Flosse. "Les concours sont lancés", a-t-il précisé. "Les investissements envisagés par le Territoire pour améliorer le cadre de vie de la population de Papeete, profiteront à toute la Polynésie, puisque chaque jour, 80.000 personnes fréquentent Papeete", a souligné Gaston Flosse.
Le montant de la totalité des projets à Papeete, sur 2004 et 2005, s'élève à 965 millions de Fcfp (environ 8 millions d'euros). Le président, qui a donné jeudi son approbation pour l'ensemble, a annoncé que le financement public pourrait dépasser les 80%, soit un investissement de 806 millions (environ 6,7 millions d'euros).
Ce grand hôtel marquera la fin du front de mer. Au préalable, la piscine de Tipaerui, sur le chemin de ce nouveau front de mer, sera détruite et reconstruite sur un autre site. Son déplacement fera l'objet de discussion a averti Gaston Flosse. Le président a rappelé les autres travaux programmés à Papeete, pour la plupart déjà soumis à appel d'offres.
Parmi ces travaux, l'agrandissement de la place To'ata est un projet arrêté: les constructions de jardins, d’une plage suspendue, de plans d’eau, de deux snacks et de quatre restaurants sur la place sont programmées.
La plage suspendue, au profit des touristes et de la population "de l'arrière pays de Papeete", a indiqué Gaston Flosse, sera réalisée en vue de "permettre aux piroguiers de pouvoir débarquer et mettre leur pirogue à l'eau", a poursuivi Gaston Flosse.
80.000 personnes fréquentent Papeete quotidiennement
"La baignade ne sera pas possible dans la rade de Papeete. Cependant, les enfants pourront venir y jouer. Il est prévu en outre des parcs importants pour le pique-nique et autre, pour les familles. Le front de mer doit profiter aux touristes et aussi à la population". Les études concernant la place Vaiete se poursuivent.
La dernière solution envisage "la création, en aérien, d'un niveau supérieur pour les piétons, tandis que le flot de véhicules passerait en-dessous de cette zone", a décrit Gaston Flosse. "Les concours sont lancés", a-t-il précisé. "Les investissements envisagés par le Territoire pour améliorer le cadre de vie de la population de Papeete, profiteront à toute la Polynésie, puisque chaque jour, 80.000 personnes fréquentent Papeete", a souligné Gaston Flosse.
Le montant de la totalité des projets à Papeete, sur 2004 et 2005, s'élève à 965 millions de Fcfp (environ 8 millions d'euros). Le président, qui a donné jeudi son approbation pour l'ensemble, a annoncé que le financement public pourrait dépasser les 80%, soit un investissement de 806 millions (environ 6,7 millions d'euros).
