L'allée centrale du musée d'Orsay à Paris - Photo : ©-Fotolia
La fréquentation des musées et monuments parisiens a diminué de 8,4 % en 2016 avec 68,5 millions d'entrées, selon l'Office du tourisme et des congrès de Paris (OTCP).
L'OTCP précise que 95 expositions temporaires proposées par 34 sites de la capitale ont, elles, attiré 11,9 millions de visiteurs. Le record est pour « Icônes de l'art moderne. La collection Chtchoukine » de la Fondation Louis Vuitton : 1,2 million de visiteurs.
C'est la cathédrale Notre-Dame de Paris qui reste le monument le plus visité de la ville avec 12 millions de visiteurs en 2016. Viennent ensuite la basilique du Sacré-cœur (10 millions) et le musée du Louvre (7 millions, -17 % en 2016). Un recul qui n'empêche pas le musée du Louvre de rester le musée le plus fréquenté au monde.
Pour l'OTCP, la baisse de la fréquentation des sites de la capitale est liée "d'abord à la conjoncture touristique consécutive aux attentats de 2015 et à ceux de 2016 (…), à des facteurs climatiques : des sites notoires situés en bord de Seine ont connu des fermetures ponctuelles au début du mois de juin au moment de la crue du fleuve. (…)
Enfin à l'effet d'éviction, propre à chaque événement sportif majeur, n'a pas échappé à l'Euro de football 2016."
L'OTCP précise que 95 expositions temporaires proposées par 34 sites de la capitale ont, elles, attiré 11,9 millions de visiteurs. Le record est pour « Icônes de l'art moderne. La collection Chtchoukine » de la Fondation Louis Vuitton : 1,2 million de visiteurs.
C'est la cathédrale Notre-Dame de Paris qui reste le monument le plus visité de la ville avec 12 millions de visiteurs en 2016. Viennent ensuite la basilique du Sacré-cœur (10 millions) et le musée du Louvre (7 millions, -17 % en 2016). Un recul qui n'empêche pas le musée du Louvre de rester le musée le plus fréquenté au monde.
Pour l'OTCP, la baisse de la fréquentation des sites de la capitale est liée "d'abord à la conjoncture touristique consécutive aux attentats de 2015 et à ceux de 2016 (…), à des facteurs climatiques : des sites notoires situés en bord de Seine ont connu des fermetures ponctuelles au début du mois de juin au moment de la crue du fleuve. (…)
Enfin à l'effet d'éviction, propre à chaque événement sportif majeur, n'a pas échappé à l'Euro de football 2016."
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