TourMaG.com. Quelles sont les raisons qui vous amènent à vous présenter à cette élection ?
Richard Vainopoulos. La profession entre dans une période charnière. Avec la nouvelle loi et l'application de la Directive Services, rien ne sera plus comme avant. L'APS va avoir un rôle déterminant et le travail à mettre en place est très important. Comment allons-nous garantir, sur quels montants et sur la base de quelle grille ?
Quid des agences de voyages étrangères et de leurs installations temporaires ? Les questions sont multiples. Il va falloir apporter des réponses. Nous devons nous structurer, anticiper et préparer cette mutation. L'APS n'a pas encore tous les outils. Je peux lui apporter mon expertise.
T.M.c. Quelle expertise ?
R.V. Chacun sait que j'ai été le premier à mettre en garde les professionnels sur ce qu'on appelait à l'époque la Directive Bolkeistein. Depuis, j'ai beaucoup travaillé sur ces sujets. Par ailleurs je siège depuis 1988 à l'APS, co-opté au début puis élu et à ce titre je me suis rapproché des associations de consommateur et de tout ce qui touche les litiges professionnels.
J'ai un rôle de médiateur auprès de la Direction de la Concurrence. Avec Tourcom j'ai acquis une expérience. En matière de gestion et de finance j'ai appris à utiliser des outils performants.
T.M.c. Quelles seraient vos premières actions ?
R.V. J'aimerais instaurer une meilleure communication externe en faisant valoir les actions que mène l'association au profit des consommateurs. Elles sont trop souvent passées sous silence. Je voudrais aussi améliorer la communication à l'intérieur de la structure APS.
Je souhaiterais valoriser le rôle des administrateurs et tenir compte de leurs spécificités . Un président ne peut pas décider de lui même. Je voudrais que les deux institutions professionnelles que sont le SNAV et l'APS se rapprochent.
Richard Vainopoulos. La profession entre dans une période charnière. Avec la nouvelle loi et l'application de la Directive Services, rien ne sera plus comme avant. L'APS va avoir un rôle déterminant et le travail à mettre en place est très important. Comment allons-nous garantir, sur quels montants et sur la base de quelle grille ?
Quid des agences de voyages étrangères et de leurs installations temporaires ? Les questions sont multiples. Il va falloir apporter des réponses. Nous devons nous structurer, anticiper et préparer cette mutation. L'APS n'a pas encore tous les outils. Je peux lui apporter mon expertise.
T.M.c. Quelle expertise ?
R.V. Chacun sait que j'ai été le premier à mettre en garde les professionnels sur ce qu'on appelait à l'époque la Directive Bolkeistein. Depuis, j'ai beaucoup travaillé sur ces sujets. Par ailleurs je siège depuis 1988 à l'APS, co-opté au début puis élu et à ce titre je me suis rapproché des associations de consommateur et de tout ce qui touche les litiges professionnels.
J'ai un rôle de médiateur auprès de la Direction de la Concurrence. Avec Tourcom j'ai acquis une expérience. En matière de gestion et de finance j'ai appris à utiliser des outils performants.
T.M.c. Quelles seraient vos premières actions ?
R.V. J'aimerais instaurer une meilleure communication externe en faisant valoir les actions que mène l'association au profit des consommateurs. Elles sont trop souvent passées sous silence. Je voudrais aussi améliorer la communication à l'intérieur de la structure APS.
Je souhaiterais valoriser le rôle des administrateurs et tenir compte de leurs spécificités . Un président ne peut pas décider de lui même. Je voudrais que les deux institutions professionnelles que sont le SNAV et l'APS se rapprochent.
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T.M.c. N'y a t-il pas incompatibilité et risque de délit d'initié à cumuler les deux fonctions, président d'un réseau d'agences de voyages et président d'une association qui garantit les mêmes agences de voyages ?
R.V. Je suis les travaux de l'APS depuis vingt ans. Je participe à toutes les réunions et je n'ai jamais fait sortir une information pour l'utiliser à propos de prospects ou d'entreprises en difficulté. J'interviens toujours de façon impartiale. Je rappelle que notre réseau n'a pas d'agences de voyages en propre.
De plus, en tant que Tourcom, j'ai autant d'informations sur les agences que l'APS. Avec nos centrales de paiement nous sommes ducroire et nous suivons de très près l'état financier de nos adhérents et de nos partenaires fournisseurs. Sur ces sujets nous sommes très pointus.
Et puis je ne vois pas en quoi le fait d'être président d'un groupe ou d'un réseau empêcherait d'occuper le poste de président d'une institution comme l'APS. Le SNAV n'a-t-il pas à sa tête un président de groupe ?
T.M.c. Jean-Pierre Mas et François-Xavier de Boüard, deux présidents de réseaux volontaires comme vous sont deux des quinze candidats pour cinq postes d'administrateurs à pourvoir. S'ils sont élus ils participeront mercredi, avec l'ensemble du conseil d'administration, à l'élection du président de l'APS. Un commentaire?
R.V. Que les présidents des réseaus AFAT et Selectour soient au conseil d'administration de l'APS serait un plus. Ce sont des hommes d'expérience et de responsabilité. Ils ont, comme nous avons chez Tourcom, des outils performants et une expertise. Ils conforteraient la crédibilité de l'APS.
R.V. Je suis les travaux de l'APS depuis vingt ans. Je participe à toutes les réunions et je n'ai jamais fait sortir une information pour l'utiliser à propos de prospects ou d'entreprises en difficulté. J'interviens toujours de façon impartiale. Je rappelle que notre réseau n'a pas d'agences de voyages en propre.
De plus, en tant que Tourcom, j'ai autant d'informations sur les agences que l'APS. Avec nos centrales de paiement nous sommes ducroire et nous suivons de très près l'état financier de nos adhérents et de nos partenaires fournisseurs. Sur ces sujets nous sommes très pointus.
Et puis je ne vois pas en quoi le fait d'être président d'un groupe ou d'un réseau empêcherait d'occuper le poste de président d'une institution comme l'APS. Le SNAV n'a-t-il pas à sa tête un président de groupe ?
T.M.c. Jean-Pierre Mas et François-Xavier de Boüard, deux présidents de réseaux volontaires comme vous sont deux des quinze candidats pour cinq postes d'administrateurs à pourvoir. S'ils sont élus ils participeront mercredi, avec l'ensemble du conseil d'administration, à l'élection du président de l'APS. Un commentaire?
R.V. Que les présidents des réseaus AFAT et Selectour soient au conseil d'administration de l'APS serait un plus. Ce sont des hommes d'expérience et de responsabilité. Ils ont, comme nous avons chez Tourcom, des outils performants et une expertise. Ils conforteraient la crédibilité de l'APS.
