Mais l’association a retroussé ses manches cet été, et vous a concocté une rentrée pleine d’idées et de nouveautés. Petit tour d’horizon du programme des réjouissances…
Première étape, l’arrivée d’Agnès Joussain-Cassedanne, responsable de communication depuis le 1er septembre, qui travaillera en collaboration avec Michel Messager, Secrétaire général.
L’objectif majeur de cette rentrée 2003 est de mettre en place des rapports directs avec le consommateur, afin de mieux lui expliquer les rôles et les responsabilités de l’association par rapport à lui, consommateur, mais également à ses adhérents.
Faire connaître le rôle de l'APS au grand public
Dans cet esprit, l’APS se donne pour objectif le développement de son propre service consommateur. Pour Olivier Delaire, son président, « Plus qu’un organisme de comptage des sinistres, nous souhaitons mettre en place une structure capable de rendre compte de la nature et des évolutions des sinistres ».
L’association lancera cet automne une campagne de communication grand public (numéros « Spécial tourisme » de Paris Match, Nouvel Observateur, Figaro Magazine) qui viendra appuyer cette nouvelle stratégie.
Autre nouveauté de la rentrée pour les adhérents : la mise en ligne du premier module de formation venant s’ajouter aux formations plus classiques, dispensées dans les locaux de l’APS.
Toutes les informations sur la formation en ligne et le dossier d’accompagnement sont sur www.tourisme-aps.com.
Revenant sur les liquidations judiciaires du premier semestre 2003, qui a vu sombrer 43 agences, Olivier Delaire estime le montant des sinistres entre 1,2 et 1,6 millions d’euros.
"... pas d’autre choix que de systématiser les frais d’agence..."
Pour l’année 2004, la tendance n’est pas à l’optimisme : « Les marges diminuent et les chiffres d’affaires n’augmentent pas. Les responsables d’agences n’auront, à terme, pas d’autre choix que de systématiser les frais d’agence en mettant l’accent sur la notion de contact et de professionnalisme, tout en privilégiant les forfaits.
C’est une question de survie pour les mois et les années à venir ! »
Enfin, pour finir sur une note plus positive, malgré toutes ces incertitudes, le nombre d’exposants à Top Resa n’a pas diminué par rapport à 2002. Signe que la profession n’en est pas à son premier « trou d’air », et qu’elle a toujours réussi à maintenir le cap !
Shiraz BAZIN MOUSSI à Paris - 10 septembre 2003
shirazbazin@aol.com
Première étape, l’arrivée d’Agnès Joussain-Cassedanne, responsable de communication depuis le 1er septembre, qui travaillera en collaboration avec Michel Messager, Secrétaire général.
L’objectif majeur de cette rentrée 2003 est de mettre en place des rapports directs avec le consommateur, afin de mieux lui expliquer les rôles et les responsabilités de l’association par rapport à lui, consommateur, mais également à ses adhérents.
Faire connaître le rôle de l'APS au grand public
Dans cet esprit, l’APS se donne pour objectif le développement de son propre service consommateur. Pour Olivier Delaire, son président, « Plus qu’un organisme de comptage des sinistres, nous souhaitons mettre en place une structure capable de rendre compte de la nature et des évolutions des sinistres ».
L’association lancera cet automne une campagne de communication grand public (numéros « Spécial tourisme » de Paris Match, Nouvel Observateur, Figaro Magazine) qui viendra appuyer cette nouvelle stratégie.
Autre nouveauté de la rentrée pour les adhérents : la mise en ligne du premier module de formation venant s’ajouter aux formations plus classiques, dispensées dans les locaux de l’APS.
Toutes les informations sur la formation en ligne et le dossier d’accompagnement sont sur www.tourisme-aps.com.
Revenant sur les liquidations judiciaires du premier semestre 2003, qui a vu sombrer 43 agences, Olivier Delaire estime le montant des sinistres entre 1,2 et 1,6 millions d’euros.
"... pas d’autre choix que de systématiser les frais d’agence..."
Pour l’année 2004, la tendance n’est pas à l’optimisme : « Les marges diminuent et les chiffres d’affaires n’augmentent pas. Les responsables d’agences n’auront, à terme, pas d’autre choix que de systématiser les frais d’agence en mettant l’accent sur la notion de contact et de professionnalisme, tout en privilégiant les forfaits.
C’est une question de survie pour les mois et les années à venir ! »
Enfin, pour finir sur une note plus positive, malgré toutes ces incertitudes, le nombre d’exposants à Top Resa n’a pas diminué par rapport à 2002. Signe que la profession n’en est pas à son premier « trou d’air », et qu’elle a toujours réussi à maintenir le cap !
Shiraz BAZIN MOUSSI à Paris - 10 septembre 2003
shirazbazin@aol.com
