Une décision prise suite à l'échec des pourparlers avec des banques allemandes qui réclament les 250 milions de USD ayant servi à financer les 2 unités ''Olympia Explorer'' et ''Olympia Voyager''.
Selon, Yiannos Pantazis, Chief executive, cette situation est due à la mésentente et au refus des banques allemandes d'accepter une restructuration de la dette de la compagnie dans le cadre des financements des deux navires.
"Nous continuons nos opérations tout à fait normalement, a-t-il souligné et ces décisions ont été prises pour protéger les consommateurs et les créanciers.
Nous avons joint par ailleurs Bernard Aligne, directeur commercial France de ROCL, qui nous a confirmé qu'aucune incidence ne découlait de cette situation.
"Nous poursuivons notre activité tout à fait normalement, ajoute-t-il rappelant que la compagnie ne manque pas de liquidités mais qu'elles sont actuellement bloquées dans le cadre de l'organisation des JO.
En effet, ROCL a mis pas moins de 5 paquebots à la disposition des promoteurs des Jeux Olympiques en Grèce afin de pallier le manque d'infrastructures hôtellières.
JdaL - 19 décembre 2003
redaction@tourmag.com
Selon, Yiannos Pantazis, Chief executive, cette situation est due à la mésentente et au refus des banques allemandes d'accepter une restructuration de la dette de la compagnie dans le cadre des financements des deux navires.
"Nous continuons nos opérations tout à fait normalement, a-t-il souligné et ces décisions ont été prises pour protéger les consommateurs et les créanciers.
Nous avons joint par ailleurs Bernard Aligne, directeur commercial France de ROCL, qui nous a confirmé qu'aucune incidence ne découlait de cette situation.
"Nous poursuivons notre activité tout à fait normalement, ajoute-t-il rappelant que la compagnie ne manque pas de liquidités mais qu'elles sont actuellement bloquées dans le cadre de l'organisation des JO.
En effet, ROCL a mis pas moins de 5 paquebots à la disposition des promoteurs des Jeux Olympiques en Grèce afin de pallier le manque d'infrastructures hôtellières.
JdaL - 19 décembre 2003
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