L'annonce Par Kenneth Chesnault, le CEO monde d'Amex de la suppression de 5400 emplois a été pour le moins brutale. - Photo Fotolia
Bertrand Mabille a annoncé la couleur début janvier, la fermeture de plusieurs plateaux d'affaires, notamment en province, avait pour conséquence de réduire la force de travail.
Et le patron de CWT France justifiait cette réorganisation par le fait que près de 50% des commandes des entreprises clientes allaient être gérées en ligne, sans aucun besoin d'intermédiation humaine.
Le PSE tablait donc sur la réduction de 194 emplois et les employés de Lyon et de Marseille se voyant proposer un reclassement à Saint-Étienne, ceux de Strasbourg à Belfort et ceux de Nanterre au siège de CWT Paris 15e.
CWT se montre un peu plus généreux qu'en 2012 sur les conditions de départ. par exemple, un employé avec 15 ans d'ancienneté devrait partir avec 18200 euros et six mois de salaire alors qu'en 2012, le même employé se voyait proposer 16 000 euros et six mois de salaire.
Le comité central d'entreprise a rendu son avis le 12 février dernier et les consultations vont s'enchaîner jusqu'au mois d'avril...
Et le patron de CWT France justifiait cette réorganisation par le fait que près de 50% des commandes des entreprises clientes allaient être gérées en ligne, sans aucun besoin d'intermédiation humaine.
Le PSE tablait donc sur la réduction de 194 emplois et les employés de Lyon et de Marseille se voyant proposer un reclassement à Saint-Étienne, ceux de Strasbourg à Belfort et ceux de Nanterre au siège de CWT Paris 15e.
CWT se montre un peu plus généreux qu'en 2012 sur les conditions de départ. par exemple, un employé avec 15 ans d'ancienneté devrait partir avec 18200 euros et six mois de salaire alors qu'en 2012, le même employé se voyait proposer 16 000 euros et six mois de salaire.
Le comité central d'entreprise a rendu son avis le 12 février dernier et les consultations vont s'enchaîner jusqu'au mois d'avril...
La France touchée par la réduction des emplois
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Du côté d'Amex, direction et syndicats sont beaucoup moins transparents pour l'instant même si les négociations sont en cours.
"Il est trop tôt pour divulguer quoi que ce soit et rajouter ainsi du stress au personnel".
Il est vrai que l'annonce Par Kenneth Chesnault, le CEO monde d'Amex de la suppression de 5400 emplois a été pour le moins brutale.
Elle a surtout surpris chez Amex de ce côté-ci de l'Atlantique qui avait réussi à éviter un PSE en 2012 alors que l'entreprise les avait enchaînés en 2009, 2010 et 2011.
Or, La France, étant le second marché le plus important après le marché américain pour l'activité de business travel d'Amex, elle est obligatoirement touchée par la réduction des emplois.
L'activité de business travel d'Amex en France compte encore 1300 employés.
Kenneth Chenault souhaitait réduire de 8,5% le nombre d'employés au niveau mondial. On peut donc s'attendre à ce que ce soit le cas pour la filiale française...
"Il est trop tôt pour divulguer quoi que ce soit et rajouter ainsi du stress au personnel".
Il est vrai que l'annonce Par Kenneth Chesnault, le CEO monde d'Amex de la suppression de 5400 emplois a été pour le moins brutale.
Elle a surtout surpris chez Amex de ce côté-ci de l'Atlantique qui avait réussi à éviter un PSE en 2012 alors que l'entreprise les avait enchaînés en 2009, 2010 et 2011.
Or, La France, étant le second marché le plus important après le marché américain pour l'activité de business travel d'Amex, elle est obligatoirement touchée par la réduction des emplois.
L'activité de business travel d'Amex en France compte encore 1300 employés.
Kenneth Chenault souhaitait réduire de 8,5% le nombre d'employés au niveau mondial. On peut donc s'attendre à ce que ce soit le cas pour la filiale française...