Thomas Cook a dévoilé ce jeudi, un vaste plan de refinancement d'un montant de 1,6 milliard de livres (1,8 milliard d'euros) pour réduire sa perte.
Ce plan prévoit une augmentation de capital d'environ 425 millions de livres, l'émission de nouvelles obligations pour un montant de 525 millions d'euros (environ 441 millions de livres) et l'octroi par les banques de nouvelles lignes de crédit à hauteur de 691 millions de livres.
Sur le premier semestre achevé fin mars, le groupe a annoncé une réduction de sa perte nette à 285,6 millions de livres (337 millions d'euros) contre 594,3 millions pour la même période l'an dernier.
Les réservations été s'inscrivent en hausse de 2% par rapport à 2012, et représentent environ 60% de ses capacités.
La filiale française a enregistré un chiffre d'affaires en retrait à 151.3 millions de livres sur le 1er semestre, contre 161 millions en 2012.
Le résultat opérationnel, en amélioration, est toujours dans le rouge à 17.5 millions, contre 22 millions en 2012.
Dans un communiqué le groupe précise que sur la France "la capacité a été réduite de manière significative mais les prix de vente moyens et la marge brute sont tous deux en forte hausse."
Ce plan prévoit une augmentation de capital d'environ 425 millions de livres, l'émission de nouvelles obligations pour un montant de 525 millions d'euros (environ 441 millions de livres) et l'octroi par les banques de nouvelles lignes de crédit à hauteur de 691 millions de livres.
Sur le premier semestre achevé fin mars, le groupe a annoncé une réduction de sa perte nette à 285,6 millions de livres (337 millions d'euros) contre 594,3 millions pour la même période l'an dernier.
Les réservations été s'inscrivent en hausse de 2% par rapport à 2012, et représentent environ 60% de ses capacités.
La filiale française a enregistré un chiffre d'affaires en retrait à 151.3 millions de livres sur le 1er semestre, contre 161 millions en 2012.
Le résultat opérationnel, en amélioration, est toujours dans le rouge à 17.5 millions, contre 22 millions en 2012.
Dans un communiqué le groupe précise que sur la France "la capacité a été réduite de manière significative mais les prix de vente moyens et la marge brute sont tous deux en forte hausse."