Un projet de loi présenté en Conseil des Ministres prévoit le remboursement par les voyageurs imprudents de «tout ou partie des frais» induits par d'éventuelles opérations de secours.
Le tourisme oui, l'imprudence non. La France ne souhaite plus payer pour les voyageurs qui ne respecteraient pas les recommandations du Quai d'Orsay mises à jours dans sa rubrique "Conseils Aux Voyageurs".
C'est en substance ce que contient le projet de loi présenté lors du conseil des ministres de mercredi 22 juillet, par Bernard Kouchner, le ministre des Affaires Étrangères. (LIRE)
Les "aventuriers touristiques" qui se retrouveraient enlevés dans l'une des zones à risques formellement déconseillées par la France, pourraient devoir rembourser «tout ou partie des frais» induits par d'éventuelles opérations de secours. Actuellement, ses frais sont en la charge de l'état français.
Les professionnels du tourisme sont également visés par cette loi. Sur le portail du premier ministre un communiqué indique : "Cette faculté sera également ouverte à l’encontre des opérateurs de transport, compagnies d’assurance et voyagistes, qui auront failli à leurs obligations."
Le tourisme oui, l'imprudence non. La France ne souhaite plus payer pour les voyageurs qui ne respecteraient pas les recommandations du Quai d'Orsay mises à jours dans sa rubrique "Conseils Aux Voyageurs".
C'est en substance ce que contient le projet de loi présenté lors du conseil des ministres de mercredi 22 juillet, par Bernard Kouchner, le ministre des Affaires Étrangères. (LIRE)
Les "aventuriers touristiques" qui se retrouveraient enlevés dans l'une des zones à risques formellement déconseillées par la France, pourraient devoir rembourser «tout ou partie des frais» induits par d'éventuelles opérations de secours. Actuellement, ses frais sont en la charge de l'état français.
Les professionnels du tourisme sont également visés par cette loi. Sur le portail du premier ministre un communiqué indique : "Cette faculté sera également ouverte à l’encontre des opérateurs de transport, compagnies d’assurance et voyagistes, qui auront failli à leurs obligations."