“Ventes printemps-été : quel bilan à la fin de la saison ?”, telle était le sondage de l’été proposé par votre portail favori une semaine à la veille des grands départs.
La tendance (lourde) se confirme : les consommateurs ont d’autres achats à fouetter et leur priorité c’est de regarder le niveau de leurs finances avant une rentrée qui ne s’annonce pas sous les meilleurs auspices...
Disons-le tout net : seuls 5,79% des votants (259) estiment “Très bon”, le volume de leurs ventes. Il se trouve encore 12,36% pour les estimer “Bonnes”, ce qui additionné nous donne18,15%.
Selon le principe de la bouteille à moitié pleine ou à moitié vide on peut ensuite librement interpréter les ventes considérées comme “Moyennes” (32.05%).
Mais ensuite, il n’y a plus ambiguïté : le niveau des transactions est jugé “Mauvais” pour 20.46% et “Très mauvais” pour 8.11%.
Dans le chapitre descente aux enfers, 17.76% affirment même qu’ils n’ont “Jamais connu pire”, tandis que seulement 3.47% s’abstiennent, ce qui en fait un total de 45,73%, soit quasiment 1 votant sur 2 si l'on exclue les NSP.
Si l’on partage équitablement, les ventes “Moyennes”, cela nous donne 16,02% (en arrondissant) qui, ajoutés aux 45,73% nous donnerait une très mauvaise tendance avec un écrasant 61,75%.
Bien entendu, pour garder le moral (autant que faire se peut) on va dire qu’il est difficile de savoir statistiquement si les ventes sont plutôt “Moyennes” bonnes ou... moyennes “mauvaises”.
C’est le charme de la statistique qui permet de faire dire aux chiffres ce que l’on veut !
La tendance (lourde) se confirme : les consommateurs ont d’autres achats à fouetter et leur priorité c’est de regarder le niveau de leurs finances avant une rentrée qui ne s’annonce pas sous les meilleurs auspices...
Disons-le tout net : seuls 5,79% des votants (259) estiment “Très bon”, le volume de leurs ventes. Il se trouve encore 12,36% pour les estimer “Bonnes”, ce qui additionné nous donne18,15%.
Selon le principe de la bouteille à moitié pleine ou à moitié vide on peut ensuite librement interpréter les ventes considérées comme “Moyennes” (32.05%).
Mais ensuite, il n’y a plus ambiguïté : le niveau des transactions est jugé “Mauvais” pour 20.46% et “Très mauvais” pour 8.11%.
Dans le chapitre descente aux enfers, 17.76% affirment même qu’ils n’ont “Jamais connu pire”, tandis que seulement 3.47% s’abstiennent, ce qui en fait un total de 45,73%, soit quasiment 1 votant sur 2 si l'on exclue les NSP.
Si l’on partage équitablement, les ventes “Moyennes”, cela nous donne 16,02% (en arrondissant) qui, ajoutés aux 45,73% nous donnerait une très mauvaise tendance avec un écrasant 61,75%.
Bien entendu, pour garder le moral (autant que faire se peut) on va dire qu’il est difficile de savoir statistiquement si les ventes sont plutôt “Moyennes” bonnes ou... moyennes “mauvaises”.
C’est le charme de la statistique qui permet de faire dire aux chiffres ce que l’on veut !
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