Le voyages d'affaires en Europe a enregistré une une croissance de 3,9 %, passant à 218 milliards d’euros, selon une étude commandée par Travelport à PhoCusWright.
D’ici 2014, l’ensemble du secteur du voyage européen devrait atteindre 230 milliards d’euros.
Les agences en ligne vont notamment tirer leur épingle du jeu, puisque les réservations on line devraient augmenter de 16 % en 2013 et de 13 % en 2014.
Un communiqué de presse souligne : "Une nouvelle race de consommateurs est en train d’apparaître, exigeant un accès en ligne plus important aux réservations de voyages.
Cette nouvelle génération de voyageurs d’affaires utilise de plus en plus la technologie mobile pour chercher, acheter, modifier et réserver des voyages en déplacement. Les réservations mobiles devraient d’ailleurs prendre de l’importance en 2013 et au-delà."
L'étude souligne également que les économies dans les entreprises seront encore à l'ordre du jour. Elles limitent les voyages "en première classe et font appel à des transporteurs privilégiés".
le communiqué précise "Le secteur ferroviaire, avec ses tarifs bien souvent comparativement inférieurs" à l'aérien, "a également tiré son épingle du jeu, capturant plus de 50 % des parts de marché du segment aérien pour les voyages de maximum 3,5 heures. "
D’ici 2014, l’ensemble du secteur du voyage européen devrait atteindre 230 milliards d’euros.
Les agences en ligne vont notamment tirer leur épingle du jeu, puisque les réservations on line devraient augmenter de 16 % en 2013 et de 13 % en 2014.
Un communiqué de presse souligne : "Une nouvelle race de consommateurs est en train d’apparaître, exigeant un accès en ligne plus important aux réservations de voyages.
Cette nouvelle génération de voyageurs d’affaires utilise de plus en plus la technologie mobile pour chercher, acheter, modifier et réserver des voyages en déplacement. Les réservations mobiles devraient d’ailleurs prendre de l’importance en 2013 et au-delà."
L'étude souligne également que les économies dans les entreprises seront encore à l'ordre du jour. Elles limitent les voyages "en première classe et font appel à des transporteurs privilégiés".
le communiqué précise "Le secteur ferroviaire, avec ses tarifs bien souvent comparativement inférieurs" à l'aérien, "a également tiré son épingle du jeu, capturant plus de 50 % des parts de marché du segment aérien pour les voyages de maximum 3,5 heures. "