En 2012, les liaisons aériennes ont été globalement moins ponctuelles que les liaisons ferroviaires, à en croire un bilan de l'Autorité de la qualité de service dans les transports (AQST), dévoilé mardi 21 mai 2013.
En raison des intempéries exceptionnelles constatées en février 2012, des "pics dans les taux d'annulation des trains et des vols" ainsi que des retards au départ et à l'arrivée ont été enregistrés, explique un communiqué.
Sur l'ensemble de l'année, le retard moyen à l'arrivée des trains longue distance (TGV, liaisons internationales, Intercités) se situe aux alentours d'une demie heure par mois.
En revanche, dans le transport aérien, "les proportions de vols en retard demeurent importantes, tant au départ qu'à l'arrivée", note l'AQST.
Pour établir son bilan, elle s'est basée sur des données collectées auprès de la SNCF et de la Direction générale de l'aviation civile (DGAC).
En raison des intempéries exceptionnelles constatées en février 2012, des "pics dans les taux d'annulation des trains et des vols" ainsi que des retards au départ et à l'arrivée ont été enregistrés, explique un communiqué.
Sur l'ensemble de l'année, le retard moyen à l'arrivée des trains longue distance (TGV, liaisons internationales, Intercités) se situe aux alentours d'une demie heure par mois.
En revanche, dans le transport aérien, "les proportions de vols en retard demeurent importantes, tant au départ qu'à l'arrivée", note l'AQST.
Pour établir son bilan, elle s'est basée sur des données collectées auprès de la SNCF et de la Direction générale de l'aviation civile (DGAC).
