J.J Violo propriétaire de la Villa Kerasy et de son spa 100 % ayurvedique à Vannes en Bretagne sud.
TourMaG.com – Comment arrive-t-on à ouvrir un spa 100 % ayurveda en plein Morbihan ?
Jean-Jacques Violo : Je suis originaire de Lorient d’où partaient les bateaux de la Compagnie des Indes et j’appartiens à une famille de grands voyageurs qui a longtemps vécu à Saïgon.
Peut-être faut-il y voir un signe. La décision d’ouvrir un spa ayurveda m’est venue après avoir effectué mes premiers voyages en Inde.
TourMaG.com – Dans quelles circonstances avez-vous découvert l’Inde ?
J-J V. : L’Inde ne s’appréhende pas facilement, il faut être prêt.
Avant de la découvrir j’avais réalisé plusieurs voyages en Asie en commençant par la Thaïlande, un grand classique. Mes premiers pas sur le sol indien furent une révélation.
J’ai eu la chance d’y découvrir l’ayurveda qui est pour moi une une vraie source d’équilibre. Je passe deux mois par an en Asie, notamment en Inde et en Indonésie. Au fil des ans, je confirme ma connaissance de l’ayurveda.
Jean-Jacques Violo : Je suis originaire de Lorient d’où partaient les bateaux de la Compagnie des Indes et j’appartiens à une famille de grands voyageurs qui a longtemps vécu à Saïgon.
Peut-être faut-il y voir un signe. La décision d’ouvrir un spa ayurveda m’est venue après avoir effectué mes premiers voyages en Inde.
TourMaG.com – Dans quelles circonstances avez-vous découvert l’Inde ?
J-J V. : L’Inde ne s’appréhende pas facilement, il faut être prêt.
Avant de la découvrir j’avais réalisé plusieurs voyages en Asie en commençant par la Thaïlande, un grand classique. Mes premiers pas sur le sol indien furent une révélation.
J’ai eu la chance d’y découvrir l’ayurveda qui est pour moi une une vraie source d’équilibre. Je passe deux mois par an en Asie, notamment en Inde et en Indonésie. Au fil des ans, je confirme ma connaissance de l’ayurveda.
TourMaG.com - Et la décision d’ouvrir un hôtel ?
J-J.V. : C’est mon métier. J’ai une formation en marketing et management hôtelier.
J’avais le projet d’ouvrir dans ma région un hôtel avec spa. Il ne pouvait être qu’ayurvédique. La Villa Kerasy un petit hôtel de charme de 15 chambres créé en 2000 et le spa Kerasy, créé en 2009, sont le prolongement de mes voyages.
J’ai voulu faire partager ma passion en créant un petit bout d’Asie en Bretagne. Notre hôtel rappelle les épopées des navigateurs bretons vers les contrées asiatiques. Il est accueillant et propice au ressourcement.
TourMaG.com - Qui sont vos clients ?
J-J.V. : Notre clientèle dépasse les frontières régionales. Ils viennent parfois de loin, du Japon, des Etats-Unis. Vannes jadis résidence des Ducs de Bretagne. Le golfe du Morbihan, toute la Bretagne sud a un formidable pouvoir d’attraction.
TourMaG.com - Comment préparez-vous vos clients à une cure « ayurveda » ?
J-J.V. : L’ayurveda est une démarche particulière en occident où la médecine est curative alors qu’en Asie elle est préventive.
Nous partions de loin. Il nous revient de sensibiliser les clients. Certains découvrent les soins l’espace d’une heure ou deux.
D’autres séjournent une semaine dans le cadre d’une véritable cure ayurvédique qui tend à vivre mieux, à trouver un équilibre entre le corps et l’esprit.
Cette cure demande un diagnostic avant de proposer des solutions et de composer un parcours de soins personnalisés. Le parcours englobe plusieurs disciplines, de soins, de réflexologie plantaire, de yoga, de méditation, de massages visage et corps. Il demande une alimentation adaptée… Les vertus de la cuisine ayurvédique sont désormais reconnues.
TourMaG.com - Comment voyez-vous évoluer votre clientèle ?
J-J.V. : Nous constatons depuis deux ans une nette progression de la clientèle française. Les Français changent leur mode de vie. Ils partent moins loin et cherchent le dépaysement près de chez eux.
Ils sont de plus en plus pressés et ne savent plus se déconnecter. Ils ne débranchent plus ! Certains ont un niveau de stress affolant et ils n’en prennent pas conscience.
Ils voudraient se réparer en 48 heures alors qu’il leur faudrait quinze jours !
J-J.V. : C’est mon métier. J’ai une formation en marketing et management hôtelier.
J’avais le projet d’ouvrir dans ma région un hôtel avec spa. Il ne pouvait être qu’ayurvédique. La Villa Kerasy un petit hôtel de charme de 15 chambres créé en 2000 et le spa Kerasy, créé en 2009, sont le prolongement de mes voyages.
J’ai voulu faire partager ma passion en créant un petit bout d’Asie en Bretagne. Notre hôtel rappelle les épopées des navigateurs bretons vers les contrées asiatiques. Il est accueillant et propice au ressourcement.
TourMaG.com - Qui sont vos clients ?
J-J.V. : Notre clientèle dépasse les frontières régionales. Ils viennent parfois de loin, du Japon, des Etats-Unis. Vannes jadis résidence des Ducs de Bretagne. Le golfe du Morbihan, toute la Bretagne sud a un formidable pouvoir d’attraction.
TourMaG.com - Comment préparez-vous vos clients à une cure « ayurveda » ?
J-J.V. : L’ayurveda est une démarche particulière en occident où la médecine est curative alors qu’en Asie elle est préventive.
Nous partions de loin. Il nous revient de sensibiliser les clients. Certains découvrent les soins l’espace d’une heure ou deux.
D’autres séjournent une semaine dans le cadre d’une véritable cure ayurvédique qui tend à vivre mieux, à trouver un équilibre entre le corps et l’esprit.
Cette cure demande un diagnostic avant de proposer des solutions et de composer un parcours de soins personnalisés. Le parcours englobe plusieurs disciplines, de soins, de réflexologie plantaire, de yoga, de méditation, de massages visage et corps. Il demande une alimentation adaptée… Les vertus de la cuisine ayurvédique sont désormais reconnues.
TourMaG.com - Comment voyez-vous évoluer votre clientèle ?
J-J.V. : Nous constatons depuis deux ans une nette progression de la clientèle française. Les Français changent leur mode de vie. Ils partent moins loin et cherchent le dépaysement près de chez eux.
Ils sont de plus en plus pressés et ne savent plus se déconnecter. Ils ne débranchent plus ! Certains ont un niveau de stress affolant et ils n’en prennent pas conscience.
Ils voudraient se réparer en 48 heures alors qu’il leur faudrait quinze jours !
