Les habitants sont particulièrement touchés puisque la quasi totalité de la population est privée d’eau depuis 4 jours, cette situation menaçant ainsi l’hygiène et la santé des familles.
Les vacances scolaires commencent demain, et les touristes attendus vont devoir eux aussi faire les frais de ce conflit insensé car hôtels, restaurants , résidences sont logés à la même enseigne.
De plus le problème est très complexe et rend l’issue du conflit difficile.
Tout est parti du licenciement de 144 salariés de la Générale des Eaux qui gère la distribution de l’eau en Guadeloupe.
Ces licenciements s’expliquent par le non règlement d’une dette de 23 millions d’euros correspondant à des services non réglés par les collectivités locales.
De plus, le contrat d’exploitation entre la Générale des Eaux et les collectivités prend fin au 31 décembre 2014.
Les vacances scolaires commencent demain, et les touristes attendus vont devoir eux aussi faire les frais de ce conflit insensé car hôtels, restaurants , résidences sont logés à la même enseigne.
De plus le problème est très complexe et rend l’issue du conflit difficile.
Tout est parti du licenciement de 144 salariés de la Générale des Eaux qui gère la distribution de l’eau en Guadeloupe.
Ces licenciements s’expliquent par le non règlement d’une dette de 23 millions d’euros correspondant à des services non réglés par les collectivités locales.
De plus, le contrat d’exploitation entre la Générale des Eaux et les collectivités prend fin au 31 décembre 2014.
Dommage, le tourisme avait repris fière allure...
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Cette situation était connue de tous y compris du Préfet de la Guadeloupe représentant l’état, mais personne n’a anticipé le règlement de cette dette.
C’est maintenant un jeu politicien de « qui va payer ou qui peut payer » une dette légitime que réclame une entreprise privée.
Les salariés, à travers leurs syndicats, défendent comme il se doit, leur emploi fragilisé par cette dette et surtout par le flou sur l’avenir de leur statut, puisque le contrat d’exploitation de la Générale des Eaux prend fin dans 2 semaines : ce sont 400 emplois pour lequel l’avenir est incertain.
Dommage, le tourisme avait repris fière allure en Guadeloupe.
Une très grosse campagne de communication et de promotion avait été engagée ces dernières semaines redynamisant l’activité touristique de la Guadeloupe…
Si pendant les deux semaines de vacances scolaires, une solution de sortie crise n’est pas trouvée, la Guadeloupe aura une nouvelle fois du mal à s’en remettre…
De plus, des drames sanitaires pour la population sont à craindre, car l’eau est une ressource vitale pour la salubrité publique.
Encore une fois, les populations locales et les touristes sont les otages d’un conflit dont la responsabilité incombe aux collectivités locales et à l’Etat.
C’est maintenant un jeu politicien de « qui va payer ou qui peut payer » une dette légitime que réclame une entreprise privée.
Les salariés, à travers leurs syndicats, défendent comme il se doit, leur emploi fragilisé par cette dette et surtout par le flou sur l’avenir de leur statut, puisque le contrat d’exploitation de la Générale des Eaux prend fin dans 2 semaines : ce sont 400 emplois pour lequel l’avenir est incertain.
Dommage, le tourisme avait repris fière allure en Guadeloupe.
Une très grosse campagne de communication et de promotion avait été engagée ces dernières semaines redynamisant l’activité touristique de la Guadeloupe…
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De plus, des drames sanitaires pour la population sont à craindre, car l’eau est une ressource vitale pour la salubrité publique.
Encore une fois, les populations locales et les touristes sont les otages d’un conflit dont la responsabilité incombe aux collectivités locales et à l’Etat.