« Par rapport au portail Orchestra, nous nous situons plutôt en complémentarité. Comme c’est le cas chez Héliades », explique Eric Barthelemy, le co-fondateur de Viaxoft.
Viaxoft vient d’équiper Frequent Flyer Travel Paris, l’agence spécialisée dans le business travel, de ViaXeo, une plate-forme informatique multi canal de front, mid et back office qui permet l’automatisation d’un certain nombre de process.
Un exemple de la façon dont la SS2i composée de Viaxoft et de Sapeig fonctionne.
Viaxoft a en effet repris l’intégralité du capital et du personnel de Sapeig en janvier dernier.
Mais les deux entités continuent de fonctionner en parallèle. Avec chacune des solutions sa spécificité : Viaxoft pour le front et mid office, Sapeig pour le back office.
Retour en arrière. Lorsque Jack Brunet, fondateur de Sapeig veut se séparer de son entreprise en juillet 2008, la jeune entreprise Viaxoft s’associe à Taranis et chacune reprend 50% des parts de Sapeig.
Un exemple de la façon dont la SS2i composée de Viaxoft et de Sapeig fonctionne.
Viaxoft a en effet repris l’intégralité du capital et du personnel de Sapeig en janvier dernier.
Mais les deux entités continuent de fonctionner en parallèle. Avec chacune des solutions sa spécificité : Viaxoft pour le front et mid office, Sapeig pour le back office.
Retour en arrière. Lorsque Jack Brunet, fondateur de Sapeig veut se séparer de son entreprise en juillet 2008, la jeune entreprise Viaxoft s’associe à Taranis et chacune reprend 50% des parts de Sapeig.
Taranis et Sapeig en concurrence frontale
Autres articles
-
A Paris, Viaxoft a fêté ses 15 ans avec "les rêves d’un ado"
-
Eric Barthélémy (Viaxoft) : "Les voyants sont au vert pour 2023"
-
ERIC BARTHELEMY
-
ViaXoft s'intègre avec la solution mobile mTrip à ses outils
-
Télétravail : "Je ne m'attends pas à un virage à 180° dans le tourisme", selon Eric Barthélémy (Viaxoft)
Or, les produits de back office de Taranis et Sapeig sont en concurrence frontale pour décrocher les contrats des agences de voyages et surtout des tour-opérateurs.
Une situation qui pose problème et qui mènera au départ de Taranis au début de cette année.
Aujourd’hui, la situation est plus claire et les deux produits peuvent être complémentaires sans toutefois chercher nécessairement une commercialisation commune.
D’ailleurs Viaxoft continue de faire évoluer les deux solutions logicielles avec des développements spécifiques.
Comme l’interface des comptes bancaires étrangers avec des consolidateurs mondiaux pour les plateaux d’affaires. Ou encore des développements en cours sur le mid office pour les tour-opérateurs.
« Par rapport au portail Orchestra, nous nous situons plutôt en complémentarité. Comme c’est le cas chez Héliades », explique Eric Barthelemy, le co-fondateur de Viaxoft.
Une quinzaine d’ingénieurs (9 pour Viaxoft et 6 pour Sapeig) constituent l’équipe de développement « maison ».
En 2009, le chiffre d’affaires des deux entités s’est monté à 2,2 millions d’euros dont 1,1 million pour le seul Sapeig. Pour 2010, l’entreprise table sur un chiffre d’affaires de 2,5 millions dont au moins 1,3 million pour Sapeig.
Une situation qui pose problème et qui mènera au départ de Taranis au début de cette année.
Aujourd’hui, la situation est plus claire et les deux produits peuvent être complémentaires sans toutefois chercher nécessairement une commercialisation commune.
D’ailleurs Viaxoft continue de faire évoluer les deux solutions logicielles avec des développements spécifiques.
Comme l’interface des comptes bancaires étrangers avec des consolidateurs mondiaux pour les plateaux d’affaires. Ou encore des développements en cours sur le mid office pour les tour-opérateurs.
« Par rapport au portail Orchestra, nous nous situons plutôt en complémentarité. Comme c’est le cas chez Héliades », explique Eric Barthelemy, le co-fondateur de Viaxoft.
Une quinzaine d’ingénieurs (9 pour Viaxoft et 6 pour Sapeig) constituent l’équipe de développement « maison ».
En 2009, le chiffre d’affaires des deux entités s’est monté à 2,2 millions d’euros dont 1,1 million pour le seul Sapeig. Pour 2010, l’entreprise table sur un chiffre d’affaires de 2,5 millions dont au moins 1,3 million pour Sapeig.
