Mardi 17 septembre 2013, la SNCF a confirmé avoir manifesté son intérêt dans le cadre de la privatisation de la société qui gère le réseau ferroviaire en Grèce, Trainose, selon un article publié par Les Echos.
"C'est la première fois depuis plusieurs décennies qu'une compagnie ferroviaire est en vente. Il est donc légitime que nous cherchions à avoir accès au dossier, sans autre engagement de notre part", explique un membre de la direction de la compagnie au quotidien économique.
Ce dernier croit cependant savoir qu'il est peu probable qu'elle aille plus loin. "L'extension de son activité de transport de voyageurs hors de France s'est toujours faite en remportant des appels d'offres, et non par rachat", précise l'article.
Par ailleurs, le rachat serait contraire aux objectifs de désendettement du groupe et pourrait mal passer auprès des pouvoirs publics qui ont demandé à la SNCF d'améliorer, en priorité, le service des « trains du quotidien » dans l'Hexagone.
HRADF, l'agence grecque chargée des privatisations, indique de son côté que 3 groupes ont fait par de leur intérêt. Outre la SNCF, il s'agit du roumain Grampet Group et le spécialiste grec du BTP GEK Terna, associé à Russian Railways.
"C'est la première fois depuis plusieurs décennies qu'une compagnie ferroviaire est en vente. Il est donc légitime que nous cherchions à avoir accès au dossier, sans autre engagement de notre part", explique un membre de la direction de la compagnie au quotidien économique.
Ce dernier croit cependant savoir qu'il est peu probable qu'elle aille plus loin. "L'extension de son activité de transport de voyageurs hors de France s'est toujours faite en remportant des appels d'offres, et non par rachat", précise l'article.
Par ailleurs, le rachat serait contraire aux objectifs de désendettement du groupe et pourrait mal passer auprès des pouvoirs publics qui ont demandé à la SNCF d'améliorer, en priorité, le service des « trains du quotidien » dans l'Hexagone.
HRADF, l'agence grecque chargée des privatisations, indique de son côté que 3 groupes ont fait par de leur intérêt. Outre la SNCF, il s'agit du roumain Grampet Group et le spécialiste grec du BTP GEK Terna, associé à Russian Railways.