Inutile d’aller au cinéma ni dans une fête foraine, la technologie va tellement vite que notre quotidien change tous les jours, sous les coups répétés de nouveautés technologiques qui, si elles ne sont pas forcément révolutionnaires, portent en elles le germe de l’innovation et transforment insensiblement notre quotidien en une sorte de monde magique.
Un « Magic world » où il suffit d’appuyer sur une touche, de cliquer sur un écran ou de passer une commande vocale, et nous voilà servis, et parfois très bien servis par des applications impatientes de se rendre indispensables et de se ranger parmi les « scale up ».
Car, en grandissant et en devenant prospère, on sort de son état de start-up pour accéder à une terminologie plus valorisante. Encore plus étonnantes que les applications, devenues si banales qu’on leur demande l’impossible, les robots humanoïdes qui ont investi assez rapidement le monde du tourisme : croisières, aéroports, hôtels, voituriers, restaurants, musées… Avec tous les bonus et les malus que cela comporte. Notamment sur l’emploi.
Bien entendu la géopolitique défrayée par les crises migratoires, les révélations de fraudes fiscales à grande échelle, les coups de butoir contre l’Union européenne, n’a rien de réjouissant, surtout à la veille des vacances de printemps et d’été dont on ne peut encore prédire grand-chose, si ce n’est qu’elles seront bienvenues et que chacun cherchera à en tirer le meilleur parti.
Quels que soient les moyens mis en œuvre, quelle que soit la destination. On ira où on pourra. On dépensera ce que l’on pourra. Pourvu que l’on puisse s’évader et peut-être s’inventer une autre vie, une autre personnalité, une autre occupation professionnelle… Hors des cadres, hors des murs, hors des normes…
Un « Magic world » où il suffit d’appuyer sur une touche, de cliquer sur un écran ou de passer une commande vocale, et nous voilà servis, et parfois très bien servis par des applications impatientes de se rendre indispensables et de se ranger parmi les « scale up ».
Car, en grandissant et en devenant prospère, on sort de son état de start-up pour accéder à une terminologie plus valorisante. Encore plus étonnantes que les applications, devenues si banales qu’on leur demande l’impossible, les robots humanoïdes qui ont investi assez rapidement le monde du tourisme : croisières, aéroports, hôtels, voituriers, restaurants, musées… Avec tous les bonus et les malus que cela comporte. Notamment sur l’emploi.
Bien entendu la géopolitique défrayée par les crises migratoires, les révélations de fraudes fiscales à grande échelle, les coups de butoir contre l’Union européenne, n’a rien de réjouissant, surtout à la veille des vacances de printemps et d’été dont on ne peut encore prédire grand-chose, si ce n’est qu’elles seront bienvenues et que chacun cherchera à en tirer le meilleur parti.
Quels que soient les moyens mis en œuvre, quelle que soit la destination. On ira où on pourra. On dépensera ce que l’on pourra. Pourvu que l’on puisse s’évader et peut-être s’inventer une autre vie, une autre personnalité, une autre occupation professionnelle… Hors des cadres, hors des murs, hors des normes…
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