La fréquentation touristique de l'Ile-de-France au 1er semestre 2014 accuse un léger retrait par rapport à 2013, avec 15,7 millions d’arrivées hôtelières, soit une baisse de -1,6%, indique le Comité Régional du Tourisme Paris Île-de-France dans un communiqué.
Même topo pour le Grand Paris (Paris, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne et Hauts-de-Seine) avec 11 millions d’arrivées hôtelières (-1,1%).
La fréquentation internationale se maintient, avec 5,4 millions de nuitées dans le grand Paris (-0,9% par rapport à 2013) et 7,3 millions en Île-de-France (+0,1%).
Le premier marché étranger du grand Paris, les USA, enregistre une progression de 3,8% des arrivées hôtelières (847 000) avec toutefois de plus courts séjours (2,7 nuits) qu’en 2013 (-4,1%).
A l’échelle de la région, les Britanniques sont les plus nombreux (987 000 nuitées, -3,5 % par rapport à 2013).
Les Espagnols ont fait leur grand retour, après une baisse régulière depuis près de 10 ans : +2,4 % dans le grand Paris et +3,5% en Ile-de France.
Il en est de même pour les Italiens qui privilégient dans leur majorité Paris intramuros (+1,4%).
La croissance la plus fulgurante pour ce premier semestre 2014 provient des marchés des Proche et Moyen Orient : +26,2 % d’arrivées hôtelières dans Paris intra-muros où ils séjournent le plus volontiers.
Le marché chinois, quant à lui, semble se recentrer sur Paris intra-muros (+8,2% d’arrivées hôtelières chinoises, -4,5% en petite couronne et -15% en grande couronne).
Même topo pour le Grand Paris (Paris, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne et Hauts-de-Seine) avec 11 millions d’arrivées hôtelières (-1,1%).
La fréquentation internationale se maintient, avec 5,4 millions de nuitées dans le grand Paris (-0,9% par rapport à 2013) et 7,3 millions en Île-de-France (+0,1%).
Le premier marché étranger du grand Paris, les USA, enregistre une progression de 3,8% des arrivées hôtelières (847 000) avec toutefois de plus courts séjours (2,7 nuits) qu’en 2013 (-4,1%).
A l’échelle de la région, les Britanniques sont les plus nombreux (987 000 nuitées, -3,5 % par rapport à 2013).
Les Espagnols ont fait leur grand retour, après une baisse régulière depuis près de 10 ans : +2,4 % dans le grand Paris et +3,5% en Ile-de France.
Il en est de même pour les Italiens qui privilégient dans leur majorité Paris intramuros (+1,4%).
La croissance la plus fulgurante pour ce premier semestre 2014 provient des marchés des Proche et Moyen Orient : +26,2 % d’arrivées hôtelières dans Paris intra-muros où ils séjournent le plus volontiers.
Le marché chinois, quant à lui, semble se recentrer sur Paris intra-muros (+8,2% d’arrivées hôtelières chinoises, -4,5% en petite couronne et -15% en grande couronne).
Les prix élevés de la SNCF freinent les touristes français
La Russie et le Japon enregistrent des baisses de fréquentation à l’échelle régionale (respectivement -8,1% et -4,8% d’arrivées hôtelières) et dans la capitale (-5,1% et -2,2% d’arrivées hôtelières).
Enfin, en Europe, la Suisse, l’Allemagne et les Pays-Bas enregistrent des baisses de fréquentation plus prononcées à Paris (respectivement –10,8%, -13,1% et -10% d’arrivées hôtelières) qu’en Île-de-France.
En revanche, la fréquentation hôtelière française baisse de -1,3% dans le grand Paris, -3,1% en Île-de-France.
Pour y remédier, François Navarro, Directeur général du CRT Paris Ile-de-France a lancé un appel à la SNCF, lors de la présentation des résultats semestriels, jeudi 21 août 2014.
« Les prix pratiqués à destination de ces visiteurs sont trop élevés, les freinent et les empêchent de découvrir notre destination. Les professionnels du tourisme sont prêts à aller à la reconquête des visiteurs français. Toutefois, il convient que la SNCF joue son rôle » a-t-il expliqué.
Les musées et monuments franciliens, quant à eux, ont été plébiscités, notamment le Grand Palais, la tour Montparnasse, le Petit Palais, le domaine de Versailles, le musée national du château de Fontainebleau ainsi que le musée de l’Air et de l’Espace du Bourget.
Enfin, en Europe, la Suisse, l’Allemagne et les Pays-Bas enregistrent des baisses de fréquentation plus prononcées à Paris (respectivement –10,8%, -13,1% et -10% d’arrivées hôtelières) qu’en Île-de-France.
En revanche, la fréquentation hôtelière française baisse de -1,3% dans le grand Paris, -3,1% en Île-de-France.
Pour y remédier, François Navarro, Directeur général du CRT Paris Ile-de-France a lancé un appel à la SNCF, lors de la présentation des résultats semestriels, jeudi 21 août 2014.
« Les prix pratiqués à destination de ces visiteurs sont trop élevés, les freinent et les empêchent de découvrir notre destination. Les professionnels du tourisme sont prêts à aller à la reconquête des visiteurs français. Toutefois, il convient que la SNCF joue son rôle » a-t-il expliqué.
Les musées et monuments franciliens, quant à eux, ont été plébiscités, notamment le Grand Palais, la tour Montparnasse, le Petit Palais, le domaine de Versailles, le musée national du château de Fontainebleau ainsi que le musée de l’Air et de l’Espace du Bourget.
Une fréquentation estivale jugée moyenne
La prise de température chez les professionnels du tourisme parisien, pour juillet-août, indique "une bonne tenue de la fréquentation en juillet", selon le CRT et l’Office du Tourisme et des Congrès de Paris (OTCP).
Au mois d’août, la fréquentation touristique est jugée de façon plus mitigée par les pros du tourisme : « moyenne » pour 42% des professionnels interrogés par le CRT, « bonne » pour 41% et « mauvaise » pour 17%.
Par ailleurs, le taux d’occupation des hôtels parisiens atteint 85% (+6,4 points par rapport à 2013) sur la première quinzaine d’août, selon MKG Hospitality.
En revanche, plus de la moitié (52%) des professionnels interrogés par le CRT, qualifie de « bon », voire « très bon » l’état des réservations pour le mois de septembre.
Au mois d’août, la fréquentation touristique est jugée de façon plus mitigée par les pros du tourisme : « moyenne » pour 42% des professionnels interrogés par le CRT, « bonne » pour 41% et « mauvaise » pour 17%.
Par ailleurs, le taux d’occupation des hôtels parisiens atteint 85% (+6,4 points par rapport à 2013) sur la première quinzaine d’août, selon MKG Hospitality.
En revanche, plus de la moitié (52%) des professionnels interrogés par le CRT, qualifie de « bon », voire « très bon » l’état des réservations pour le mois de septembre.
