Cette reprise de la fréquentation est liée surtout à la zone Asie et notamment au Japon (9.156 touristes, soit +19,8% par rapport à janvier-mai 2003), à l’Europe hors France (11.500 touristes, soit +6,8%), à la zone Pacifique (6.951 touristes, soit + 13,5%), et à l'Amérique du Sud (1.966 touristes, soit +36,5%).
Les deux principaux marchés émetteurs, l’Amérique du Nord (31.336 touristes de janvier à mai 2004) et la France (17.409 touristes), connaissent encore un léger retard par rapport à la fréquentation à la même période l’an dernier, avec des baisses respectives de 5,8% et 6,2% pour la France.
Si le volume de nuitées touristiques (1.051.093) et hôtelières (693.814) cumulées à fin mai 2004 reste inférieur à celui de mai 2003 (– 1,1% pour les nuitées touristiques, et – 3,0%, nuitées hôtelières), la tendance s’établit à la hausse. En effet, le volume de nuitées touristiques connaît une hausse de 1,7% pour le mois de mai 2004 par rapport à avril 2004, et de 0,7% pour le volume de nuitées hôtelières entre avril et mai 2004.
Les dernières données du Conseil des Professionnels de l’Hôtellerie (CPH) viennent conforter cette tendance, puisque le taux de remplissage des hôtels considérés en mai 2004 dépasse les 65% pour l’ensemble de la Polynésie française, et atteint 78% pour la seule île de Tahiti, taux les plus élevés de toute l’année 2004.
Durée moyenne de séjour stable
La durée moyenne de séjour tous touristes confondus reste stable, à savoir 13,4 jours (janvier à mai 2003) et 13,1 jours (janvier à mai 2004), soit une légère baisse de 0,3 %, ainsi que la durée moyenne de séjour en excluant les touristes français (10 jours) et celle des seuls touristes français (24,3 jours, à fin mai 2004 contre 24,4 jours l’année précédente).
La relative faiblesse de la fréquentation américaine, principale pourvoyeuse du tourisme de croisière, se ressent dans la baisse des touristes âgés de plus de 55 ans.
Les éléments communiqués par les membres de l’Observatoire du Tourisme au cours de la dernière réunion du 16 avril laissaient prévoir une reprise de la fréquentation au second trimestre, avec des niveaux de réservation hôtelière en croissance par rapport à la même période de l’an dernier, et malgré le raccourcissement constaté des délais de réservation ces dernières années.
Les deux principaux marchés émetteurs, l’Amérique du Nord (31.336 touristes de janvier à mai 2004) et la France (17.409 touristes), connaissent encore un léger retard par rapport à la fréquentation à la même période l’an dernier, avec des baisses respectives de 5,8% et 6,2% pour la France.
Si le volume de nuitées touristiques (1.051.093) et hôtelières (693.814) cumulées à fin mai 2004 reste inférieur à celui de mai 2003 (– 1,1% pour les nuitées touristiques, et – 3,0%, nuitées hôtelières), la tendance s’établit à la hausse. En effet, le volume de nuitées touristiques connaît une hausse de 1,7% pour le mois de mai 2004 par rapport à avril 2004, et de 0,7% pour le volume de nuitées hôtelières entre avril et mai 2004.
Les dernières données du Conseil des Professionnels de l’Hôtellerie (CPH) viennent conforter cette tendance, puisque le taux de remplissage des hôtels considérés en mai 2004 dépasse les 65% pour l’ensemble de la Polynésie française, et atteint 78% pour la seule île de Tahiti, taux les plus élevés de toute l’année 2004.
Durée moyenne de séjour stable
La durée moyenne de séjour tous touristes confondus reste stable, à savoir 13,4 jours (janvier à mai 2003) et 13,1 jours (janvier à mai 2004), soit une légère baisse de 0,3 %, ainsi que la durée moyenne de séjour en excluant les touristes français (10 jours) et celle des seuls touristes français (24,3 jours, à fin mai 2004 contre 24,4 jours l’année précédente).
La relative faiblesse de la fréquentation américaine, principale pourvoyeuse du tourisme de croisière, se ressent dans la baisse des touristes âgés de plus de 55 ans.
Les éléments communiqués par les membres de l’Observatoire du Tourisme au cours de la dernière réunion du 16 avril laissaient prévoir une reprise de la fréquentation au second trimestre, avec des niveaux de réservation hôtelière en croissance par rapport à la même période de l’an dernier, et malgré le raccourcissement constaté des délais de réservation ces dernières années.
