Mais, au niveau de la réglementation, il pose plus de questions qu'il n'apporte de réponses...
En effet, parmi les nouveaux arrivants, tous ne sont pas inconnus loin de là : la Pologne est une valeur sûre, Prague joue depuis longtemps les stars de la resa chez certains TO, et Budapest entend bien lui emboîter le pas.
Si certains comme la Slovénie et la Slovaquie restent encore des destinations confidentielles, les petites Républiques baltes comme l'Estonie devraient séduire rapidement par un bon rapport qualité prix.
Et pour achever ce rapide tour d'horizon, Malte et Chypre, ne sont pas non plus des inconnues au bataillon... de visiteurs.
Pas de bouleversements majeurs mais...
Bref, s'il ne faut pas attendre de bouleversements majeurs de cet élargissement, on pourrait en revanche s'inquiéter de la véritable "pagaille" qui règne dans le secteur des professionnels et de la législation du voyage.
Promulguée le 13 juin 1990, la directive européenne n° 90-314 sur les voyages à forfait souhaitait, dans un souci de protection du consommateur, devait garantir certaines obligations destinées « à l’harmonisation des législations sur les forfaits introduisant un minimum de règles communes ».
Parmi celles-ci l’obligation pour l’agence de «justifier des garanties suffisantes propres à assurer, en cas d’insolvabilité ou de faillite, le remboursement des fonds déposés et le rapatriement du consommateur » (article 7).
...les consommateurs ne s'y retrouveront pas forcément !
Or, aujourd'hui les divergences d'interprétation entre États membres font que chaque pays gère un peu à sa manière ces garantie et les conditions d'accès des professionnels à la vente de voyages.
Aucune harmonisation, même si elle est inscrite dans les textes, n'est prévue à ce sujet et il faudra sans doute des années aux États membres pour retrouver un semblant de cohérence en la matière.
En attendant, il en résulte une joyeuse "pagaille" (LIRE Distribution - la cacophonie européenne) qui a des allures d'auberge espagnole et n'augure rien de bon pour le consommateur...
En effet, parmi les nouveaux arrivants, tous ne sont pas inconnus loin de là : la Pologne est une valeur sûre, Prague joue depuis longtemps les stars de la resa chez certains TO, et Budapest entend bien lui emboîter le pas.
Si certains comme la Slovénie et la Slovaquie restent encore des destinations confidentielles, les petites Républiques baltes comme l'Estonie devraient séduire rapidement par un bon rapport qualité prix.
Et pour achever ce rapide tour d'horizon, Malte et Chypre, ne sont pas non plus des inconnues au bataillon... de visiteurs.
Pas de bouleversements majeurs mais...
Bref, s'il ne faut pas attendre de bouleversements majeurs de cet élargissement, on pourrait en revanche s'inquiéter de la véritable "pagaille" qui règne dans le secteur des professionnels et de la législation du voyage.
Promulguée le 13 juin 1990, la directive européenne n° 90-314 sur les voyages à forfait souhaitait, dans un souci de protection du consommateur, devait garantir certaines obligations destinées « à l’harmonisation des législations sur les forfaits introduisant un minimum de règles communes ».
Parmi celles-ci l’obligation pour l’agence de «justifier des garanties suffisantes propres à assurer, en cas d’insolvabilité ou de faillite, le remboursement des fonds déposés et le rapatriement du consommateur » (article 7).
...les consommateurs ne s'y retrouveront pas forcément !
Or, aujourd'hui les divergences d'interprétation entre États membres font que chaque pays gère un peu à sa manière ces garantie et les conditions d'accès des professionnels à la vente de voyages.
Aucune harmonisation, même si elle est inscrite dans les textes, n'est prévue à ce sujet et il faudra sans doute des années aux États membres pour retrouver un semblant de cohérence en la matière.
En attendant, il en résulte une joyeuse "pagaille" (LIRE Distribution - la cacophonie européenne) qui a des allures d'auberge espagnole et n'augure rien de bon pour le consommateur...
