IATA a annoncé que le taux mondial d'accidents (mesuré en pertes de coques par millions de vols d’avions à réaction de fabrication occidentale) en 2010 atteint 0,61.
Cela représente un accident pour 1,6 million de vols.
Il s'agit du "taux le plus faible de l'histoire de l'aviation, juste en-dessous du ratio de 0,65 enregistré en 2006", a ajouté l'IATA lors d'une conférence de presse à Tokyo. Tous les types d'appareils entrent en ligne de compte.
Malgré ce taux, le nombre d'accidents fatals a été supérieur à celui de 2009 : 23 contre 18. Les victimes ont également été plus nombreuses 786 contre 685.
Giovanni Bisignani président de l'Association du transport aérien a indiqué qu'il existait encore des marges d'amélioration compte tenu des fortes disparités régionales.
Cela représente un accident pour 1,6 million de vols.
Il s'agit du "taux le plus faible de l'histoire de l'aviation, juste en-dessous du ratio de 0,65 enregistré en 2006", a ajouté l'IATA lors d'une conférence de presse à Tokyo. Tous les types d'appareils entrent en ligne de compte.
Malgré ce taux, le nombre d'accidents fatals a été supérieur à celui de 2009 : 23 contre 18. Les victimes ont également été plus nombreuses 786 contre 685.
Giovanni Bisignani président de l'Association du transport aérien a indiqué qu'il existait encore des marges d'amélioration compte tenu des fortes disparités régionales.
L'industrie s'inquiète de la flambée du prix du brut
Par ailleurs, l'industrie aérienne s'inquiète de la hausse du prix du pétrole.
"Les tarifs du pétrole constituent un gros problème qui pourrait radicalement changer la situation du secteur", a affirmé Giovanni Bisignani.
Les prix du brut ne cessent de croître en raison de la poussée de violences dans le monde arabe et particulièrement en Libye.
Une situation qui pénalise également les titres des compagnies aériennes. L'action Air France-KLM a chuté de 2,45% à 11,83 euros, celle de Lufthansa de 2,38%, selon le Figaro
La valeur International Airlines Group (IAG) (fusion entre British Airways et Iberia) résiste un peu mieux (-0,88%).
"Les tarifs du pétrole constituent un gros problème qui pourrait radicalement changer la situation du secteur", a affirmé Giovanni Bisignani.
Les prix du brut ne cessent de croître en raison de la poussée de violences dans le monde arabe et particulièrement en Libye.
Une situation qui pénalise également les titres des compagnies aériennes. L'action Air France-KLM a chuté de 2,45% à 11,83 euros, celle de Lufthansa de 2,38%, selon le Figaro
La valeur International Airlines Group (IAG) (fusion entre British Airways et Iberia) résiste un peu mieux (-0,88%).
