Que ce soit au départ ou l'arrivée des aéroports américains, les passagers pourraient subir dès le début mars des attentes de plus en plus longues.
Les coupes budgétaires et réductions d'effectifs prévues pour le 1er mars aux États-Unis et qui concernent notamment le service de douanes et de l'immigration pourraient entrainer le chômage partiel des employés des aéroports.
Résultat : on estime que le temps d'attente dans les grands aéroports du pays pourrait croître de 30 % à 50% à l'arrivée, et qu'il pourrait également augmenter de manière sensible au départ.
A New York (Newark et JFK), Los Angeles et Chicago, l'attente pourrait même dépasser quatre heures aux heures de pointe.
Un vote du Congrès d'ici le 1er mars pourrait repousser cette mesure.
Les coupes budgétaires et réductions d'effectifs prévues pour le 1er mars aux États-Unis et qui concernent notamment le service de douanes et de l'immigration pourraient entrainer le chômage partiel des employés des aéroports.
Résultat : on estime que le temps d'attente dans les grands aéroports du pays pourrait croître de 30 % à 50% à l'arrivée, et qu'il pourrait également augmenter de manière sensible au départ.
A New York (Newark et JFK), Los Angeles et Chicago, l'attente pourrait même dépasser quatre heures aux heures de pointe.
Un vote du Congrès d'ici le 1er mars pourrait repousser cette mesure.