Sur le trimestre, le trafic passagers du groupe a affiché une progression de 9,0% pour une hausse de 5,0% des capacités.
Le groupe Air France/Klm s'attend à un résultat d'exploitation encore meilleur au second semestre avec une progression de plus de 50% sur l'année, par rapport à 483 millions dégagés lors de l'exercice précédent.
Toutefois, AF/KLM s'en tiendra à ces prévisions et n'avancera pas de prévision chiffrée pour l'ensemble de l'exercice. Pour le seul premier semestre, clos au 30 septembre dernier, le résultat d'exploitation s'élève déjà à 750 millions d'euros.
Le groupe franco-néerlandais a dégagé un résultat d'exploitation de 528 millions d'euros lors du deuxième trimestre soit une progression de +55,8 %, largement supérieure aux prévisions.
Le pétrole plombe les résultats
Le chiffre chiffre d'affaires en hausse de 10,2% à 5.636 millions et le bénéfice net atteint 717 millions au deuxième trimestre contre 195 millions au premier trimestre de l'exercice précédent.
Le montant a été porté par une plus-value de 504 millions d'euros réalisée sur la vente des titres Amadeus lors de l'offre publique d'achat lancée par la nouvelle société holding WAM.
Si les charges d'exploitation ont augmenté de 7,0% à 5,11 milliards, les économies et les synergies issues de la fusion Air France-KLM ont permis de les compenser avec notamment une facture de kérosène qui a bondi de +29% à 908 millions d'euros.
Hors carburant, ces mêmes charges auraient progressé de seulement 3,1%, AF/KLM ayant réduit de 15% ses frais commerciaux à la suite des nouvelles relations contractuelles établies avec le réseau des agences lors qu passage à la commisison 0 au 1er avril dernier.
Les surtaxes carburant mises en place depuis mai 2004 par la compagnie ont également limité l'impact de la hausse du brut, a déclaré à la presse Pierre-Henri Gourgeon, directeur général du groupe.
"Dans l'ensemble l'activité aérienne est relativement bonne. Mais Air France-KLM progresse plus fortement car la rapprochement tient parfaitement ses promesses", a-t-il ajouté, soulignant que cette fusion renforçait la puissance commerciale du groupe et lui permettait de profiter à plein des deux "hubs" de Roissy-Charles de Gaulle et d'Amsterdam-Schipol.
Optimisme pour le second semestre
Sur le trimestre, le trafic passagers du groupe a affiché une progression de 9,0% pour une hausse de 5,0% des capacités, ce qui s'est traduit par une hausse de 2,2 points du coefficient d'occupation à 84,2%.
La recette unitaire progresse de 5,1% pour le transport passagers (RSKO, siège au kilomètre offert) tandis que l'activité fret a connu un nouveau trimestre difficile en terme de trafic en raison de la faiblesse de l'économie européenne.
"Compte tenu de la très bonne tenue actuelle du trafic et des réservations pour les prochains mois", l'objectif du groupe est ainsi de dégager au second semestre un résultat d'exploitation "nettement positif", qui viendrait ainsi s'ajouter aux 750 millions du premier semestre.
Toutefois, AF/KLM s'en tiendra à ces prévisions et n'avancera pas de prévision chiffrée pour l'ensemble de l'exercice. Pour le seul premier semestre, clos au 30 septembre dernier, le résultat d'exploitation s'élève déjà à 750 millions d'euros.
Le groupe franco-néerlandais a dégagé un résultat d'exploitation de 528 millions d'euros lors du deuxième trimestre soit une progression de +55,8 %, largement supérieure aux prévisions.
Le pétrole plombe les résultats
Le chiffre chiffre d'affaires en hausse de 10,2% à 5.636 millions et le bénéfice net atteint 717 millions au deuxième trimestre contre 195 millions au premier trimestre de l'exercice précédent.
Le montant a été porté par une plus-value de 504 millions d'euros réalisée sur la vente des titres Amadeus lors de l'offre publique d'achat lancée par la nouvelle société holding WAM.
Si les charges d'exploitation ont augmenté de 7,0% à 5,11 milliards, les économies et les synergies issues de la fusion Air France-KLM ont permis de les compenser avec notamment une facture de kérosène qui a bondi de +29% à 908 millions d'euros.
Hors carburant, ces mêmes charges auraient progressé de seulement 3,1%, AF/KLM ayant réduit de 15% ses frais commerciaux à la suite des nouvelles relations contractuelles établies avec le réseau des agences lors qu passage à la commisison 0 au 1er avril dernier.
Les surtaxes carburant mises en place depuis mai 2004 par la compagnie ont également limité l'impact de la hausse du brut, a déclaré à la presse Pierre-Henri Gourgeon, directeur général du groupe.
"Dans l'ensemble l'activité aérienne est relativement bonne. Mais Air France-KLM progresse plus fortement car la rapprochement tient parfaitement ses promesses", a-t-il ajouté, soulignant que cette fusion renforçait la puissance commerciale du groupe et lui permettait de profiter à plein des deux "hubs" de Roissy-Charles de Gaulle et d'Amsterdam-Schipol.
Optimisme pour le second semestre
Sur le trimestre, le trafic passagers du groupe a affiché une progression de 9,0% pour une hausse de 5,0% des capacités, ce qui s'est traduit par une hausse de 2,2 points du coefficient d'occupation à 84,2%.
La recette unitaire progresse de 5,1% pour le transport passagers (RSKO, siège au kilomètre offert) tandis que l'activité fret a connu un nouveau trimestre difficile en terme de trafic en raison de la faiblesse de l'économie européenne.
"Compte tenu de la très bonne tenue actuelle du trafic et des réservations pour les prochains mois", l'objectif du groupe est ainsi de dégager au second semestre un résultat d'exploitation "nettement positif", qui viendrait ainsi s'ajouter aux 750 millions du premier semestre.
