Les deux compagnies entendent aujourd’hui poursuivre leurs efforts de développement durable en les plaçant au centre de leur stratégie de croissance rentable.
Le rapport s’appuie sur les principes directeurs et les re- commandations du Global Reporting Initiative ; il offre, en outre, de nombreux exemples de réalisations.
Ainsi, en 2004-2005, les investissements consacrés à l’optimisation et au renouvellement des flottes d’Air France et de KLM ont permis de limiter l’impact de leur développement sur l’environnement : durant les quatre dernières années, les deux compagnies ont réduit l’énergie sonore globale de leurs activités aériennes de 18% et amélioré de façon significative leur efficacité énergétique, limitant ainsi l’augmentation du gaz carbonique et des émissions locales, malgré une croissance ininterrompue du trafic de passagers et de fret.
Ce rapport marque le début de l’engagement conjoint d’Air France et de KLM et vise à poursuivre une communication toujours plus accessible ; il contribuera à encourager un dialogue constructif avec les parties prenantes du Groupe, clients, actionnaires, fournisseurs, collaborateurs, ainsi qu’avec les pouvoirs publics, les riverains des aéroports où le groupe est présent, ou avec les organisations de protection de l’environnement.
Il s’inscrit dans la démarche de communication transparente des deux entreprises, qui publiaient chacune depuis 1996 un rapport environnement ou de développement durable. A travers ce rapport, Air France-KLM a également souhaité apporter un éclairage sur les enjeux majeurs du transport aérien, secteur vital de l’économie.
Les deux compagnies entendent aujourd’hui poursuivre leurs efforts de développement durable en les plaçant au centre de leur stratégie de croissance rentable, ainsi que le soulignent Jean-Cyril Spinetta et Leo van Wijk : « le développement durable ne peut être mis en œuvre que dans un contexte de développement économique solide. […] Nous sommes persuadés que c’est une condition indispensable pour que notre stratégie de croissance bénéficie d’un large soutien de la société dans son ensemble ».
Ainsi, en 2004-2005, les investissements consacrés à l’optimisation et au renouvellement des flottes d’Air France et de KLM ont permis de limiter l’impact de leur développement sur l’environnement : durant les quatre dernières années, les deux compagnies ont réduit l’énergie sonore globale de leurs activités aériennes de 18% et amélioré de façon significative leur efficacité énergétique, limitant ainsi l’augmentation du gaz carbonique et des émissions locales, malgré une croissance ininterrompue du trafic de passagers et de fret.
Ce rapport marque le début de l’engagement conjoint d’Air France et de KLM et vise à poursuivre une communication toujours plus accessible ; il contribuera à encourager un dialogue constructif avec les parties prenantes du Groupe, clients, actionnaires, fournisseurs, collaborateurs, ainsi qu’avec les pouvoirs publics, les riverains des aéroports où le groupe est présent, ou avec les organisations de protection de l’environnement.
Il s’inscrit dans la démarche de communication transparente des deux entreprises, qui publiaient chacune depuis 1996 un rapport environnement ou de développement durable. A travers ce rapport, Air France-KLM a également souhaité apporter un éclairage sur les enjeux majeurs du transport aérien, secteur vital de l’économie.
Les deux compagnies entendent aujourd’hui poursuivre leurs efforts de développement durable en les plaçant au centre de leur stratégie de croissance rentable, ainsi que le soulignent Jean-Cyril Spinetta et Leo van Wijk : « le développement durable ne peut être mis en œuvre que dans un contexte de développement économique solide. […] Nous sommes persuadés que c’est une condition indispensable pour que notre stratégie de croissance bénéficie d’un large soutien de la société dans son ensemble ».
