« Nous sommes très déçus d’être repassé dans le rouge après avoir enregistré notre premier bénéfice trimestriel depuis 2000 au 2ème trimestre 2005. En dépit de volumes de ventes records, nous n’avons pas pu rester bénéficiaires.
Ceci démontre que nous n’avons pas réussi à répercuter la hausse du coût du kérosène sur le prix des billets. Cela renforce notre volonté d’accélérer le programme de réduction des coûts dans le cadre de notre Plan de Retour à l’Equilibre » a déclaré Gerard Arpey, Président-Directeur Général d’AMR Corporation.
Selon lui, les ouragans Katrina et Rita, outre le fait qu’ils aient contribué au renchérissement du coût du carburant, ont également impacté négativement les résultats en réduisant les déplacements et en bouleversant les liaisons aériennes.
MAlgré cela, es performances du transporteur au cours de ce 3ème trimestre ont été marquées par des coefficients de remplissage très élevés – en moyenne 81,2%, soit 3,3 points de plus que l’an dernier - et par une amélioration significative du « yield », en hausse de 8%.
Facture pétrolière plombée
« Grâce à une demande forte et à une limitation de la capacité, nous avons pu augmenter notre chiffres d’affaires. Nous avons aussi enregistré la première hausse significative du yield depuis quelque temps.
Mais il y a toujours un décalage entre le prix de l’essence et le prix du transport aérien. Ne serait-ce que pour couvrir la hausse du carburant sur ces deux dernières années, nous aurions du augmenter nos tarifs de près de 75 $ par billet aller/retour. Or durant la même période, nos tarifs n’ont augmenté en moyenne que de 15 $" précise-t-il
Au cours de ce 3ème trimestre, la Compagnie a payé 525 millions de dollars de plus pour le carburant que ce qu’elle aurait payé s’il était resté au même niveau que l’an dernier, et 204 millions de dollars de plus par rapport au prix moyen du trimestre dernier !
« Les progrès accomplis pour réduire tous les autres postes de dépense hors fuel expliquent pourquoi nous sommes en meilleure forme que certains de nos concurrents, » ajoute Gerard Arpey.
Perte significative attendue au 4e trimestre
« Mais pour assurer notre avenir, nous devons progresser davantage et ramener nos coûts à des niveaux qui nous permettent de nous battre à armes égales avec d’une part, les compagnies low-cost, et d’autre part, celles qui sont actuellement en train de se restructurer dans le cadre de la loi sur les faillites. »
Selon Gerard Arpey, les passagers apprécient le produit proposé par American Airlines. « Comme toujours, notre challenge est à la fois de séduire nos clients et de récompenser nos actionnaires. Nous sommes en train de travailler tous ensemble pour relever ce défi. »
La Compagnie termine ce trimestre avec 3,9 milliards de dollars en trésorerie et investissements à court terme. Enfin, en prenant en compte les niveaux actuels du carburant, la Compagnie s’attend à enregistrer une perte significative au cours du 4ème Trimestre 2005.
Ceci démontre que nous n’avons pas réussi à répercuter la hausse du coût du kérosène sur le prix des billets. Cela renforce notre volonté d’accélérer le programme de réduction des coûts dans le cadre de notre Plan de Retour à l’Equilibre » a déclaré Gerard Arpey, Président-Directeur Général d’AMR Corporation.
Selon lui, les ouragans Katrina et Rita, outre le fait qu’ils aient contribué au renchérissement du coût du carburant, ont également impacté négativement les résultats en réduisant les déplacements et en bouleversant les liaisons aériennes.
MAlgré cela, es performances du transporteur au cours de ce 3ème trimestre ont été marquées par des coefficients de remplissage très élevés – en moyenne 81,2%, soit 3,3 points de plus que l’an dernier - et par une amélioration significative du « yield », en hausse de 8%.
Facture pétrolière plombée
« Grâce à une demande forte et à une limitation de la capacité, nous avons pu augmenter notre chiffres d’affaires. Nous avons aussi enregistré la première hausse significative du yield depuis quelque temps.
Mais il y a toujours un décalage entre le prix de l’essence et le prix du transport aérien. Ne serait-ce que pour couvrir la hausse du carburant sur ces deux dernières années, nous aurions du augmenter nos tarifs de près de 75 $ par billet aller/retour. Or durant la même période, nos tarifs n’ont augmenté en moyenne que de 15 $" précise-t-il
Au cours de ce 3ème trimestre, la Compagnie a payé 525 millions de dollars de plus pour le carburant que ce qu’elle aurait payé s’il était resté au même niveau que l’an dernier, et 204 millions de dollars de plus par rapport au prix moyen du trimestre dernier !
« Les progrès accomplis pour réduire tous les autres postes de dépense hors fuel expliquent pourquoi nous sommes en meilleure forme que certains de nos concurrents, » ajoute Gerard Arpey.
Perte significative attendue au 4e trimestre
« Mais pour assurer notre avenir, nous devons progresser davantage et ramener nos coûts à des niveaux qui nous permettent de nous battre à armes égales avec d’une part, les compagnies low-cost, et d’autre part, celles qui sont actuellement en train de se restructurer dans le cadre de la loi sur les faillites. »
Selon Gerard Arpey, les passagers apprécient le produit proposé par American Airlines. « Comme toujours, notre challenge est à la fois de séduire nos clients et de récompenser nos actionnaires. Nous sommes en train de travailler tous ensemble pour relever ce défi. »
La Compagnie termine ce trimestre avec 3,9 milliards de dollars en trésorerie et investissements à court terme. Enfin, en prenant en compte les niveaux actuels du carburant, la Compagnie s’attend à enregistrer une perte significative au cours du 4ème Trimestre 2005.