L'attaque a eu lieu sur les Champs-Elysées aux alentours de 21 heures - Photo : Wikipedia
Un policier a été tué et deux autres grièvement blessés dans une fusillade, jeudi 20 avril 2017 vers 21 heures, sur les Champs-Élysées, à Paris (France).
Un homme a tiré à l'arme automatique sur un véhicule stationné dans lequel se trouvaient plusieurs policiers de la 32e compagnie d'intervention de la direction de l'ordre public et de la circulation de la préfecture de police de Paris (DOPC).
Une passante a également été touchée.
L'assaillant a immédiatement été visé par un tir de riposte. Il a été abattu.
Le Parquet de Paris a saisi la section antiterroriste de la police judiciaire et la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) d'une enquête de flagrance.
L'identité de l'auteur est connue, a annoncé François Molins, procureur de la République de Paris. Mais il ne l'a pas encore dévoilée tant que l'enquête se poursuit. Il s'agirait d'un Français de 39 ans.
L'assaillant aurait agi seul. Des investigations sont actuellement en cours pour déterminer s'il a bénéficié de complicités. L'organisation État islamique a revendiqué l'attaque par le biais de son agence de propagande.
Un homme a tiré à l'arme automatique sur un véhicule stationné dans lequel se trouvaient plusieurs policiers de la 32e compagnie d'intervention de la direction de l'ordre public et de la circulation de la préfecture de police de Paris (DOPC).
Une passante a également été touchée.
L'assaillant a immédiatement été visé par un tir de riposte. Il a été abattu.
Le Parquet de Paris a saisi la section antiterroriste de la police judiciaire et la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) d'une enquête de flagrance.
L'identité de l'auteur est connue, a annoncé François Molins, procureur de la République de Paris. Mais il ne l'a pas encore dévoilée tant que l'enquête se poursuit. Il s'agirait d'un Français de 39 ans.
L'assaillant aurait agi seul. Des investigations sont actuellement en cours pour déterminer s'il a bénéficié de complicités. L'organisation État islamique a revendiqué l'attaque par le biais de son agence de propagande.
Plusieurs attentats en France depuis novembre 2015
L’État islamique avait également revendiqué les attaques de Paris et Saint-Denis le 13 novembre 2015 dans lesquelles 130 personnes ont été tuées et 413 autres blessées.
Des attentats qui avaient profondément marqué et provoqué une nette chute de la fréquentation touristique française. Principalement à Paris et en Île-de-France.
Une tendance qui s'était ensuite poursuivie avec une nouvelle attaque : le 14 juillet 2016, sur la promenade des Anglais, à Nice, où un homme avait foncé dans la foule avec un camion tuant 86 personnes et blessant 286 autres.
Les forces de l'ordre avaient, quant à elles, déjà été visées le 13 juin 2016 en France, à Magnanville. Un homme avait tué un commandant de police et sa compagne fonctionnaire du ministère de l'Intérieur devant leur domicile. Une attaque là aussi revendiquée par l’État islamique.
Plus récemment, un individu a attaqué plusieurs militaires au Carrousel du Louvre, à Paris, sans faire de victime, le 3 février 2017.
Le 18 mars 2017, un homme s'est emparé de l'arme d'un militaire à l'aéroport de Paris-Orly. Il a été abattu. Mais son geste reste encore inexpliqué et l'attaque n'a, à ce jour, jamais été revendiquée.
Des attentats qui avaient profondément marqué et provoqué une nette chute de la fréquentation touristique française. Principalement à Paris et en Île-de-France.
Une tendance qui s'était ensuite poursuivie avec une nouvelle attaque : le 14 juillet 2016, sur la promenade des Anglais, à Nice, où un homme avait foncé dans la foule avec un camion tuant 86 personnes et blessant 286 autres.
Les forces de l'ordre avaient, quant à elles, déjà été visées le 13 juin 2016 en France, à Magnanville. Un homme avait tué un commandant de police et sa compagne fonctionnaire du ministère de l'Intérieur devant leur domicile. Une attaque là aussi revendiquée par l’État islamique.
Plus récemment, un individu a attaqué plusieurs militaires au Carrousel du Louvre, à Paris, sans faire de victime, le 3 février 2017.
Le 18 mars 2017, un homme s'est emparé de l'arme d'un militaire à l'aéroport de Paris-Orly. Il a été abattu. Mais son geste reste encore inexpliqué et l'attaque n'a, à ce jour, jamais été revendiquée.
