Mardi 3 janvier 2012, la cour d'appel de Bastia a confirmé le maintien du paiement des astreintes par Air France d'un montant de 5 millions d'euros, "pour non application des décisions des prud'hommes" (lire), selon l'AFP.
Mais les employés exigent "l'application par la direction de la compagnie de plusieurs décisions des prud'hommes ordonnant leurs titularisations", selon Europe 1.
Ce jeudi 5 janvier, ces "indignés", comme ils se sont baptisés, occupent toujours les aéroports d'Ajaccio et Bastia.
La chambre sociale de la cour d'appel doit statuer sur le fond le 14 février.
De son côté, une porte-parole d'Air France indique que "la compagnie ne paiera pas la somme demandée, étant donné que cet argent est séquestré, en attendant que la décision finale soit rendue le 14 février prochain".
Mais les employés exigent "l'application par la direction de la compagnie de plusieurs décisions des prud'hommes ordonnant leurs titularisations", selon Europe 1.
Ce jeudi 5 janvier, ces "indignés", comme ils se sont baptisés, occupent toujours les aéroports d'Ajaccio et Bastia.
La chambre sociale de la cour d'appel doit statuer sur le fond le 14 février.
De son côté, une porte-parole d'Air France indique que "la compagnie ne paiera pas la somme demandée, étant donné que cet argent est séquestré, en attendant que la décision finale soit rendue le 14 février prochain".
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Elle précise qu'"avec 25 millions d'euros de pertes par an sur la Corse, Air France n'envisage pas d'embaucher ces personnes, les effectifs actuels étant largement suffisants".