Il n'y a pas de liens, aussi forts soient-ils, qui ne puissent être déliés... On croyait Jet tours et Laurence Berman-Clément indissociables, tellement elle l'avait « personnifiée », tellement la réussite et le renouveau de ce TO, étaient son « œuvre ».
Ce rapport quasiment charnel expliquerait la déception et la décision d’un départ précipité. Départ qui aurait même pris de court les responsables du « Club » qui regrettaient cette "décision personnelle", alors qu’elle avait été confirmée le 24 mai dernier dans ses fonctions de directrice générale.
Oui, mais voilà, LB-C ne voulait probablement pas être la énième filiale du Groupe qui a engagé une restructuration internationale visant à regrouper sous une même casquette les marchés français, belge et suisse, et a claqué la porte.
Il est probable que les résultats du 1er semestre de l'exercice 2006/2007 qui révélaient une perte opérationnelle courante de 1,4 million d'euros et des réservations pour l'été, arrêtées fin mai, en retard de 15%, y sont aussi pour quelque chose. Mais quel voyagiste n’a pas tiré la langue au cours des 6 derniers mois ?
Ce rapport quasiment charnel expliquerait la déception et la décision d’un départ précipité. Départ qui aurait même pris de court les responsables du « Club » qui regrettaient cette "décision personnelle", alors qu’elle avait été confirmée le 24 mai dernier dans ses fonctions de directrice générale.
Oui, mais voilà, LB-C ne voulait probablement pas être la énième filiale du Groupe qui a engagé une restructuration internationale visant à regrouper sous une même casquette les marchés français, belge et suisse, et a claqué la porte.
Il est probable que les résultats du 1er semestre de l'exercice 2006/2007 qui révélaient une perte opérationnelle courante de 1,4 million d'euros et des réservations pour l'été, arrêtées fin mai, en retard de 15%, y sont aussi pour quelque chose. Mais quel voyagiste n’a pas tiré la langue au cours des 6 derniers mois ?
La montée en gamme des produits et des prestations
Une chose est sûre : avec son départ, le Club perd une véritable « pépite ». Un simple coup d’œil dans le retroviseur suffit pour s’en convaincre.
En 2001 Jet tours accusait sur la balance 5 millions d'euros de perte opérationnelle. Cinq années plus tard (2005/2006), le TO dégageait un bénéfice net de 2,8 millions d'euros, pour un chiffre d'affaires de 311 millions d'euros.
Entretemps, « fée » Laurence était passée par là. Un maître-mot : la montée en gamme des produits et des prestations du voyagiste.
Une « recette » qui a également fonctionné avec bonheur pour le Club Méditerranée, en panne de croissance depuis plusieurs années.
Le tout doublé d’une communication accrocheuse et d’une recherche de la qualité à tous les niveaux. On peut dire que Laurence Berman-Clément, outre Jet tours, a marqué tout le secteur de son professionnalisme et de son esprit innovateur.
Le 15 juin 2006, interviewée par TourMaG.com, elle avait révélé que Thomas Cook France lui avait proposé la présidence mais elle avait décliné la proposition. D'autres vont suivre. Souhaitons-lui bon vent et gageons qu'avec un tel palmarès, elle ne pointera pas longtemps à l’ANPE !
En 2001 Jet tours accusait sur la balance 5 millions d'euros de perte opérationnelle. Cinq années plus tard (2005/2006), le TO dégageait un bénéfice net de 2,8 millions d'euros, pour un chiffre d'affaires de 311 millions d'euros.
Entretemps, « fée » Laurence était passée par là. Un maître-mot : la montée en gamme des produits et des prestations du voyagiste.
Une « recette » qui a également fonctionné avec bonheur pour le Club Méditerranée, en panne de croissance depuis plusieurs années.
Le tout doublé d’une communication accrocheuse et d’une recherche de la qualité à tous les niveaux. On peut dire que Laurence Berman-Clément, outre Jet tours, a marqué tout le secteur de son professionnalisme et de son esprit innovateur.
Le 15 juin 2006, interviewée par TourMaG.com, elle avait révélé que Thomas Cook France lui avait proposé la présidence mais elle avait décliné la proposition. D'autres vont suivre. Souhaitons-lui bon vent et gageons qu'avec un tel palmarès, elle ne pointera pas longtemps à l’ANPE !
