TourMaG.com – Que pensez-vous des résultats de cette 1ère vague sur le prix des billets en ligne ?
Carlos da Silva : “Je suis évidemment très satisfait. Satisfait aussi de voir que le travail mené par GO dans la multiplication des offres GDS sur son moteur est payant. Certes, en ajoutant des GDS (nous en avons 4), nous complexifions notre travail mais c’est grâce à cela que nous sommes si bien placés...
Grâce à cela mais aussi aux négociations de tarifs que nous menons avec les compagnies et auxquelles il faut ajouter l’offre de nos propres vols charters.”
T.M.com – Cette offre permet-elle d’améliorer sensiblement les résultats ?
C.daS. :“Très certainement. Il suffit de regarder les résultats du sondage (LIRE) sur des destinations telles que la Tunisie, Marrakech ou Dakar pour s’en apercevoir.
Il s’agit de destinations où nous avons nos propres liaisons charters avec Air Méditerranée. Cette année nous mettons en vente plus de 200 000 places. Je crois que c’est l’addition de l’ensemble qui explique ces bons résultats...”
T.M.com - Etes-vous surpris par le classement de vos concurrents ?
C.daS. :“La très mauvaise place d’Opodo m’a surpris, de même que la remontée de Nouvelles Frontières qui a eu, par le passé, beaucoup de difficultés avec son moteur et dont le nouveau, plus simple et efficace, semble les avoir surmontés.
En ce qui concerne Lastminute, malgré sa réputation de site très bon marché et compétitif, il a toujours eu des soucis avec son moteur de réservation.”
T.M.com – Y-a-t’il une “recette” pour être le meilleur en termes de tarifs aériens ?
C.daS. :“Pour être aussi bien placés, nous faisons beaucoup d’efforts sur nos marges. Toute la philosophie de notre société est structurée autour de l’idée qu’il faut avoir à la fois des marges faibles et en même temps suffisantes pour pouvoir sortir des profits dans ce marché difficile qu’est celui des vols secs. Je crois que nous sommes l’un des rares spécialistes français du secteur qui assure 90% du chiffre d'affaires en vol sec.”
T.M.com – Puisqu’on parle chiffres, où en êtes-vous de votre prévisionnel et des résultats et comment évolue le package dynamique ?
C.daS. :“Notre exercice s’achèvera en octobre prochain. Nous devrions faire 400 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2006 contre 327 Mie en 2005. Sur ce chiffre, 360 Mie reviennent au vol sec.
La package dynamique profite bien entendu de nos tarifs de transport compétitifs et se porte plutôt bien puisqu’il a progressé de... 100% cet hiver ! Il représentera 40 millions d’euros cette année contre 23 Mie l’année dernière.
Concernant les résultats, notre rentabilité devrait être moindre cette année, compte tenu du passage à la commission zéro qui a impacté directement nos marges. Mais nous devrons attendre la fin de l’été, qui est une période de vente très importante, pour être fixés définitivement.”
T.M.com – Quelle va être la stratégie de l’entreprise pour les mois à venir ?
C.daS. :“Notre premier métier est le B2B et nous allons continuer à y investir fortement. Aujourd’hui, 1 200 sites professionnels bénéficient du moteur vol secs GO Voyages dont plus de 500 ont opté aussi pour le package dynamique.
Bien entendu, nous allons poursuivre l’évolution du moteur de vols et celle du DP afin de maintenir la distance avec la concurrence en matière de vol sec.
T.M.com – GO Voyages sera-t-il vendu par Accor dans le cadre de son recentrage ?
C.daS. :“Accor nous a indiqué qu’il trancherait cette question dans le courant de l’été.”
T.M.com – Seriez-vous candidat à la reprise dans ce cas ?
C.daS. :“Seul, je n’en aurai pas les moyens. Mais avec d’autres partenaires je peux tout à fait l’envisager. La réponse est donc clairement... oui !”
Carlos da Silva : “Je suis évidemment très satisfait. Satisfait aussi de voir que le travail mené par GO dans la multiplication des offres GDS sur son moteur est payant. Certes, en ajoutant des GDS (nous en avons 4), nous complexifions notre travail mais c’est grâce à cela que nous sommes si bien placés...
Grâce à cela mais aussi aux négociations de tarifs que nous menons avec les compagnies et auxquelles il faut ajouter l’offre de nos propres vols charters.”
T.M.com – Cette offre permet-elle d’améliorer sensiblement les résultats ?
C.daS. :“Très certainement. Il suffit de regarder les résultats du sondage (LIRE) sur des destinations telles que la Tunisie, Marrakech ou Dakar pour s’en apercevoir.
Il s’agit de destinations où nous avons nos propres liaisons charters avec Air Méditerranée. Cette année nous mettons en vente plus de 200 000 places. Je crois que c’est l’addition de l’ensemble qui explique ces bons résultats...”
T.M.com - Etes-vous surpris par le classement de vos concurrents ?
C.daS. :“La très mauvaise place d’Opodo m’a surpris, de même que la remontée de Nouvelles Frontières qui a eu, par le passé, beaucoup de difficultés avec son moteur et dont le nouveau, plus simple et efficace, semble les avoir surmontés.
En ce qui concerne Lastminute, malgré sa réputation de site très bon marché et compétitif, il a toujours eu des soucis avec son moteur de réservation.”
T.M.com – Y-a-t’il une “recette” pour être le meilleur en termes de tarifs aériens ?
C.daS. :“Pour être aussi bien placés, nous faisons beaucoup d’efforts sur nos marges. Toute la philosophie de notre société est structurée autour de l’idée qu’il faut avoir à la fois des marges faibles et en même temps suffisantes pour pouvoir sortir des profits dans ce marché difficile qu’est celui des vols secs. Je crois que nous sommes l’un des rares spécialistes français du secteur qui assure 90% du chiffre d'affaires en vol sec.”
T.M.com – Puisqu’on parle chiffres, où en êtes-vous de votre prévisionnel et des résultats et comment évolue le package dynamique ?
C.daS. :“Notre exercice s’achèvera en octobre prochain. Nous devrions faire 400 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2006 contre 327 Mie en 2005. Sur ce chiffre, 360 Mie reviennent au vol sec.
La package dynamique profite bien entendu de nos tarifs de transport compétitifs et se porte plutôt bien puisqu’il a progressé de... 100% cet hiver ! Il représentera 40 millions d’euros cette année contre 23 Mie l’année dernière.
Concernant les résultats, notre rentabilité devrait être moindre cette année, compte tenu du passage à la commission zéro qui a impacté directement nos marges. Mais nous devrons attendre la fin de l’été, qui est une période de vente très importante, pour être fixés définitivement.”
T.M.com – Quelle va être la stratégie de l’entreprise pour les mois à venir ?
C.daS. :“Notre premier métier est le B2B et nous allons continuer à y investir fortement. Aujourd’hui, 1 200 sites professionnels bénéficient du moteur vol secs GO Voyages dont plus de 500 ont opté aussi pour le package dynamique.
Bien entendu, nous allons poursuivre l’évolution du moteur de vols et celle du DP afin de maintenir la distance avec la concurrence en matière de vol sec.
T.M.com – GO Voyages sera-t-il vendu par Accor dans le cadre de son recentrage ?
C.daS. :“Accor nous a indiqué qu’il trancherait cette question dans le courant de l’été.”
T.M.com – Seriez-vous candidat à la reprise dans ce cas ?
C.daS. :“Seul, je n’en aurai pas les moyens. Mais avec d’autres partenaires je peux tout à fait l’envisager. La réponse est donc clairement... oui !”
