Le Syndicat National des Pilotes de ligne (SNPL France ALPA) a déposé depuis le 6 février un préavis de grève pour la période du 3 ou 30 mai.
Dans un communiqué de presse, le syndicat en appelle au Premier Ministre "pour qu’il ne laisse pas une mauvaise coordination entre ministères être la cause d’un conflit majeur dans le transport aérien français."
Le SNPL France ALPA rappellent ses revendications :
"- abrogation de la loi Diard ou, à tout le moins, correction de ses effets les plus pervers dans le cadre de la proposition de loi contre le dumping social, en discussion au Sénat dès le 30 avril ;
- ouverture de négociations pour la création d’une convention collective pilotes ;
- ouverture de discussions en vue d’aboutir avant l’automne à un allégement des taxes qui pèsent sur le secteur du transport aérien et qui pénalisent l’emploi français ;
- facilitation des mesures de sûreté dans les aéroports pour les navigants."
Le syndicat indique qu'aucune "avancée concrète n’a été obtenue" et ajoute "sur fond de conflits interministériels, on nous objecte aujourd’hui l’impossibilité de nous donner satisfaction avant le début du conflit, alors que notre préavis a été déposé il y a près de trois mois."
Dans un communiqué de presse, le syndicat en appelle au Premier Ministre "pour qu’il ne laisse pas une mauvaise coordination entre ministères être la cause d’un conflit majeur dans le transport aérien français."
Le SNPL France ALPA rappellent ses revendications :
"- abrogation de la loi Diard ou, à tout le moins, correction de ses effets les plus pervers dans le cadre de la proposition de loi contre le dumping social, en discussion au Sénat dès le 30 avril ;
- ouverture de négociations pour la création d’une convention collective pilotes ;
- ouverture de discussions en vue d’aboutir avant l’automne à un allégement des taxes qui pèsent sur le secteur du transport aérien et qui pénalisent l’emploi français ;
- facilitation des mesures de sûreté dans les aéroports pour les navigants."
Le syndicat indique qu'aucune "avancée concrète n’a été obtenue" et ajoute "sur fond de conflits interministériels, on nous objecte aujourd’hui l’impossibilité de nous donner satisfaction avant le début du conflit, alors que notre préavis a été déposé il y a près de trois mois."