« Si XL Airways était à vendre, je la rachèterai demain matin car je crois à l‘avenir d‘une compagnie charter long courrier », affirme avec conviction Jean-Marc Eustache.
Cela fait trois ans que le chiffre d’affaires du groupe canadien Transat à 3,5 milliards de dollars canadiens n’évolue pas.
Le groupe compte vingt entreprises, 6 500 employés et fait voyager trois millions de clients par an.
L’heure est donc à nouveau à l’expansion.
« Je voudrais rentrer une bonne fois pour toutes aux Etats-Unis », indique le président du groupe. Il mentionne également l’Espagne et l’Italie « pour des créations ou des rachats mais pas de grosses acquisitions ».
« Si XL Airways était à vendre, je la rachèterai demain matin car je crois à l‘avenir d‘une compagnie charter long courrier», affirme avec conviction Jean-Marc Eustache.
Pourtant, avant d’être XL Airways cette même compagnie sous l’appellation Star Airlines était dans le groupe Transat. « Oui, mais avec 49% des parts, nous n’étions pas l’actionnaire majoritaire et c’était une erreur stratégique de notre part ».
Le groupe compte vingt entreprises, 6 500 employés et fait voyager trois millions de clients par an.
L’heure est donc à nouveau à l’expansion.
« Je voudrais rentrer une bonne fois pour toutes aux Etats-Unis », indique le président du groupe. Il mentionne également l’Espagne et l’Italie « pour des créations ou des rachats mais pas de grosses acquisitions ».
« Si XL Airways était à vendre, je la rachèterai demain matin car je crois à l‘avenir d‘une compagnie charter long courrier», affirme avec conviction Jean-Marc Eustache.
Pourtant, avant d’être XL Airways cette même compagnie sous l’appellation Star Airlines était dans le groupe Transat. « Oui, mais avec 49% des parts, nous n’étions pas l’actionnaire majoritaire et c’était une erreur stratégique de notre part ».
Le renouvellement de la flotte est déjà bien entamé
Le président de Transat constate qu’il manque des appareils pour assurer des vols longs courriers.
Alors, une compagnie long courrier française dans le groupe, pourquoi pas ?
A condition de pouvoir déplacer les appareils pour opérer les vols en fonction des besoins saisonniers de chaque côté de l’Atlantique…
La réflexion sur l’aérien est l’un des trois thèmes retenus pour la stratégie à déployer sur la période de 2012-2014.
Si le renouvellement de la flotte est déjà bien entamé avec le dernier A 310 qui sortira de la flotte en 2014 pour ne garder que des A 330, c’est le produit à bord qui va faire l’objet d’une redéfinition complète.
Un investissement de 60 millions de dollars est dédié à l’aérien.
Alors, une compagnie long courrier française dans le groupe, pourquoi pas ?
A condition de pouvoir déplacer les appareils pour opérer les vols en fonction des besoins saisonniers de chaque côté de l’Atlantique…
La réflexion sur l’aérien est l’un des trois thèmes retenus pour la stratégie à déployer sur la période de 2012-2014.
Si le renouvellement de la flotte est déjà bien entamé avec le dernier A 310 qui sortira de la flotte en 2014 pour ne garder que des A 330, c’est le produit à bord qui va faire l’objet d’une redéfinition complète.
Un investissement de 60 millions de dollars est dédié à l’aérien.
Il faut renouveler le concept du "All Inclusive"
Autre sujet à redéfinir : le forfait. « Nous avons lancé le all inclusive il y a vingt ans au Canada. Il faut renouveler le concept », indique Jean-Marc Eustache. Et à la base de ce renouveau, le changement du système informatique.
Le groupe prévoit d’abandonner son outil Logitour développé par Accovia, pour adopter le système britannique Travelbox (une centaine de millions de dollars d’investissement) qui apportera de la flexibilité dans la construction des forfaits.
L’objectif est de pouvoir répondre à la demande des clients qui ne souhaitent plus forcément partir sur des périodes de 7 jours mais veulent des voyages à la carte.
En 2012, le groupe Transat fêtera ses 25 ans de cotation en bourse. Jean-Marc Eustache affirme que sa priorité est désormais de former la relève pour laisser la place aux jeunes.
Mais on le voit mal lâcher le manche aussi vite, d’autant qu’avec l’association de ses concurrents TUI et Sunwing sur le marché canadien, « On a une grosse bagarre qui s’en vient », comme il le reconnaît lui-même.
Le groupe prévoit d’abandonner son outil Logitour développé par Accovia, pour adopter le système britannique Travelbox (une centaine de millions de dollars d’investissement) qui apportera de la flexibilité dans la construction des forfaits.
L’objectif est de pouvoir répondre à la demande des clients qui ne souhaitent plus forcément partir sur des périodes de 7 jours mais veulent des voyages à la carte.
En 2012, le groupe Transat fêtera ses 25 ans de cotation en bourse. Jean-Marc Eustache affirme que sa priorité est désormais de former la relève pour laisser la place aux jeunes.
Mais on le voit mal lâcher le manche aussi vite, d’autant qu’avec l’association de ses concurrents TUI et Sunwing sur le marché canadien, « On a une grosse bagarre qui s’en vient », comme il le reconnaît lui-même.
